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Thursday, 30 June 2016
Bonam Commemorationem Sancti Pauli
lectoribus Christi fidelibus exopto habere, et bonum festum Sanctorum Petri et Pauli heri habuisse etiam./HGL
1789 et les années autour, nombres premiers ou ayant haut facteurs premiers ...
Partons du principe, les révolutionnaires, au moins les meneurs et les "meneurs obliques" (comme peut-être celui qui avait donné un ordre de tirer sur une grève quelques mois avant la prise de la Bastille et qui avait par là provoqué une attitude encore plus révolutionnaire, à supposer bien-sûr que ceci était son intention), ils étaient suffisemment instruits pour s'intéresser de numérologie.
Mais, si le résultat d'une étude est particulièrement époustouflant, on pourrait éventuellement se poser la question - ou positivement conclure, ce qui est mon cas - que ces gens là aient fait des études ensemble pour concerter leurs "horaires" d'action.
Il me semble qu'il l'est, et voici un peu de détail là-dessus:
1789
2, 5 = obviement non
3, 7, 11, 13, 17, 19, 23, 29, 37, 41/43 non
nombre premier
Pour ce qui suit, j'ai noté les nombres premiers connus autour de la racine carrée non-arithmétique comme "alter/natives". Si on divise par 41 on tombe sur 43,6341463414. Si on divise par 43, on tombe sur 41,6046511627907... (parfaitement irrationnel, ou non? car je ne trouve pas la périodicité éventuelle), donc sur des entités non-arithmétiques.
Les deux années autour:
1788
894
447:3=149
149
2, 5 = obviement non, 3 obviement non, 7 obviement non
11/13 non
149, nombre premier
Pour ce qui suit, si un chiffre est juste en dessous celle d'avant, sans être relié par signe de division, chiffre de diviseur, signe d'égalité, c'est qu'il en est la moitié exacte.
1790
895
:5=179
3 7 11 13/13 non
179 premier
On n'attend pas qu'un nombre pair (hormis 2) soit un nombre premier, mais les facteurs premiers 149 et 179 sont assez hauts. En plus, 1790 reflète très bien ce dernier facteur premier et tous les années 1790 - 1799 commencent avec les chiffres de 179.
Les deux autour de ça?
1787
3 ... 41/43 non
nombre premier
1791
:3=597
:3=199
199, nombre premier? Oui, j'ai vérifié!
Les deux autour de ça, donc?
1786
893=19*47
1792
896
448
224
112
56
28
14
7
Pour une fois, ni nombre premier, ni nombre ayant un facteur premier élevé. Quand même très remarquable, car c'est 256 (double du double du double et ainsi de suite) de sept, qui a des connotations symboliques. L'autre nombre a des facteurs non très élevés, mais c'est un an qui se trouvait avant la révolution.
Les deux autour de ça?
1785
:5=357
:7=51
:3=17
1793
:11=163
163, premier
Pour les facteurs de 1785 on a un facteur premier si bas que 17, mais c'est une année prérévolutionnaire. En plus, les facteurs autres que 17 sont les chiffres du nombre qui se montre si on divise 1785 par 5.
1793 a, comme d'hab, un facteur premier assez élevé. Continuons avec les deux autour de ça:
1784
892
446
223, premier
2 5 3 11 13 7 17!
1794
897
:3=299=13*23
Pour l'écriture "17!" c'est à entendre en parallèle avec "41/43", la racine quarrée non-arithmétique de 223 est proche de 17, plutôt que par exemple entre 17 et 19.
1794 a des facteurs premiers assez bas, mais qui ont une valeur symbolique. C'est obviement vrai pour 13, mais aussi, semble-t-il, pour 23, puisque ce sont les chiffres pour les facteurs de 6.
Les trois avant 1784:
1783
3 ... 41/43 non
premier
1782
891
:9=99
1781
:13=137
2 3 5 7 11 13 non, 137 premier
1782 est le double de 891, soit 9*99 (ou 11*81). Les trois 9 en 9*99 en chiffres arabes étaient biensûr déjà le dessous-dessus des trois 6 du nombre de la bête. Peut-être que ce "dessous-dessus" par rapport au nombre de la bête ait déterré des francs-macs (ou semblables, surtout ce que Taxil appelait arrière-loges) de prendre action cette année là.
Les trois après 1794:
1795
:5=359
359 premier
1796
898
449
3 ... 19/23 non, 449 premier
1797
:3=599
599 premier
Des facteurs premiers très hauts.
Les trois avant 1781:
1780
890
445
:5=89
1779
:3=593
ce qui est un premier
1778
889
:7=127 ce qui est un premier
Les trois après 1797:
1798
899
=29*31
1799
:7=257 ce qui est un premier
1800
900
450
225
:5=45
:5=3*3
Des bas facteurs premiers uniquement en 1800! En plus, 225 est 15*15 et 15 est le nombre des mystères du Rosaire commun de la Sainte Vierge, du Rosaire Dominicain.
Et on s'attend que les francs-macs baissent le profile avec nouveautés, et en effet, le Consulat est "regressif" selon les valeurs des révolutionnaires.
Donc, si plan maçonnique il y ait eu, mettre la turbulence en jeu en 1789 et consolider avec un modicum de catholicisme en 1800, à la fois faisait bon sens du point de vue maçonnique et est une chose qui correspond aux événements réels de ces années.
1798 avait des facteurs assez bas, peut-être pas symboliques non plus. Voyons les événements:
- Loi du 22 floréal an VI
- La loi du 22 floréal an VI (11 mai 1798) est une loi invalidant l'élection de 106 députés jacobins auxquels des élus moins bien placés sont substitués. Elle est le fruit du Directoire thermidorien qui, profitant de la majorité qu'il possède pour quelques jours encore aux Conseils, désigne une commission le 4 mai. Cette dernière, concluant à la nécessité de réviser les élections, aboutit à ladite loi.
- Quel fut le corps en question?
- Le Corps législatif est le nom de l’assemblée représentative investie du pouvoir législatif, dans différentes constitutions ... en France ... dans celle du Directoire, c’est le nom donné à l’ensemble formé par le Conseil des Cinq-Cents et le Conseil des Anciens.
Après le coup d'État du 18 fructidor an V, qui a vu l'union des modérés et des néo-jacobins face à la menace monarchique, la liberté de réunion est rétablie ; des cercles constitutionnels se forment, avec l'aide des autorités, pour soutenir la politique de défense républicaine3.
De son côté, le Directoire présente, à la fin de novembre 1797, une proposition votée par le Conseil des Cinq-Cents puis, le 31 janvier 1798, par le Conseil des Anciens, octroyant au Corps législatif sortant la vérification des élections. Le 22 février, le renouvellement du directeur sortant est fixé au 27 floréal, avant l'arrivée du nouveau tiers de députés le 1er prairial. Enfin, les cercles constitutionnels et les commissaires du Directoire dressent des listes de candidats « recommandables ». Les Cinq-Cents prévoient également, le 1er janvier 1798, de déplacer le lieu de réunion de 45 assemblées électorales, pour les soustraire à l'influence des royalistes, mais les Anciens s'y opposent3.
Le 11 mai 1798 (22 floréal de l'an VI), le Conseil des Anciens invalide les élections dans plusieurs départements, expulsant 106 nouveaux députés élus, indésirables aux yeux du Directoire ; les corps administratif et judiciaire sont également épurés (loi du 22 floréal an VI).
- Voir aussi:
- Élections législatives françaises de 1798
- Loi Jourdan-Delbrel
- Vote par les consuls législatifs français de la loi Jourdan-Delbrel — du nom des députés qui l'ont proposée : Pierre Delbrel, Jean-Baptiste Jourdan — instituant la « conscription universelle et obligatoire » de tous les Français âgés de 20 à 25 ans, c'est-à-dire le service militaire obligatoire. Le principe de cette loi — « Tout Français est soldat et se doit à la défense de sa patrie » — devait rester en vigueur à travers tous les régimes jusqu'en 1996.
Cette loi, qui établissait le service obligatoire pour tous les célibataires de 20 à 25 ans, était destinée à faire face à la grande démobilisation consécutive au 9 thermidor — 700 000 hommes en 1794, 380 000 en 1797.
Cette loi permettra à Napoléon Bonaparte d'alimenter les armées jusqu'en 1815.
...
The Jourdan Law of 1798 (French: loi Jourdan) effectively institutionalised conscription in Revolutionary France, which began with the levée en masse.
It stipulated that all single and childless men between the ages of 20 and 25 were liable for military service.
Exemptions existed however for the clergy, industrial workers essential for the war-effort, students from selected Grandes écoles, and public office holders.
The law discriminated against the poor and large peasant population through the legally sanctioned practice of 'replacement', which allowed anyone who was able, to purchase someone to enlist in their place.
It was named for the French General Jean-Baptiste Jourdan.
Les wikipédistes francophones n'ont pas noté les exemptions pour le clergé, chose qui sera abolie par Clémenceau dans la Guerre de 14-18. Les wikipédistes anglophones, oui, espérons que les francophones suivront le bon exemple.
En d'autres mots, la persécution du clergé est amoindri, comme sous Staline dans la Soviétique pendant "la Grande Guerre Patriotique" et pour le même motif, bien que, hélas, ce ne fut que le clergé juré et schismatique. Et les plus grands facteurs premiers de 1798 sont aussi 29 et 31, deux nombres assez proches, et leur multiple est proche du carré arithmétique de 30, 900. Donc, ça donne un peu d'équilibre.
Soit il y a une magie inhérente dans ces nombres, ce que je ne crois pas, soit il y a d'acteurs qui planifient selon ce genre de détail mathématico-mystique. Ce que je crois et ce qui présage assez mal pour certains côtés de 2017 et quand même bien aussi. Le 500ième anniversaire de Luther, le 300ième anniversaire de la Première Grande Loge d'Angleterre, le 100ième anniversaire de la Révolution russe - pour citer le mal - est aussi le 100ième anniversaire de l'Apparition de Fatima.
Hans Georg Lundahl
BU de Nanterre U
Commémoration de St Paul
30.VI.2016
Saturday, 25 June 2016
Pas hyper français ce mec du RER
Un français bien élévé m'aurait permis de finir le repas et d'essuyer la boîte avent que je parte.
Peut-être était-il sous pression d'un patron pas très français.
Ou peut-être sous pression de collègues pas français, mais qui ne voulaient pas annoncer leur coleur; il venait avec un autre mec quand j'étais assis devant la boutique en Auber. En me conseillant de prendre le métro si je voulais être tranquille, il oubliait que j'avais peut-être un voyage à faire dans le RER ... un voyage que ses collègues avaient interrompu jusqu'à 17:30, environ un peu moins d'une heure.
Hans Georg Lundahl
Nanterre
Lendemain de
St Jean Baptiste
25.VI.2016
Friday, 24 June 2016
Bonum et Sanctum Festum Nativitatis Sancti Iohannis Baptistae
lectoribus Christifidelibus exopto.
Nativitas sancti Joannis Baptistae, Praecursoris Domini, ac sanctorum Zachariae et Elisabeth filii, qui Spiritu Sancto repletus est adhuc in utero matris suae.
A Few Days or Perhaps More than a Week, Israel went from not top ten to first with 8000+ readers on the German blog
Since then, readership has seemingly plummeted overall. Four I have been promoting by sticking url's in public, besides handing out a few too. The rest, not so.
The four I gave extended publicity:
Ukraine
76
United States
29 12 11
= 52
France
4 3 4 3
= 14
Belgium
2 2
= 4
China
3 1
= 4
Canada 3
Australia 2
Austria 2
Sweden 2
Germany 2
Italy 1
South Korea 1
United Kingdom 1
Mozambique 1
Singapore 1
The rest, including two at least I gave some extra publicity:
France
1 5 6 1 1 1 1 1 1 1 1 1
= 21
Ukraine
2 2 2 2 5
= 13
China
1 2 1 1
= 5
Ireland
12
Italy
3
Sweden
3
Russia
2
Côte d’Ivoire
2
Romania
2
Japan
1
St. Pierre & Miquelon
1
Canada
1
Norway
1
Sint Maarten
1
United States
7 29 1 1
= 38
Germany
3 1 1 1
= 5
76 52 14 4 4 3 2 2 2 2 1 1 1 1 1=166
21 13 5 12 3 3 2 2 2 1 1 1 1 1 38 5=111
= 277 (last 24 h)
This is record low.
The good news is Ireland and my blog Great Bishop of Geneva! Of 13 views, the 12 were Irish, one was French.
Great Bishop of Geneva!
http://greatbishopofgeneva.blogspot.com
And, isn't it curious, 29 from US on one blog, 29 on another?
Hans Georg Lundahl
Nanterre UL
St John's Nativity
24.VI.2016
Friday, 17 June 2016
Does Bergoglio Bring Life or Death?
2014 was of course the year of his (with Ratzinger's attendance) pseudo-canonisation of Roncalli and Wojtyla.
April 5, this blog post was made:
The Clay Rosary Girl : Anchor Bead
http://theclayrosarygirl.blogspot.com/2014/04/anchor-bead.html
In August, Dymphna wrote this:
Dymphna's Road : Eternal rest grant unto her O Lord.....
https://dymphnaroad.blogspot.com/2014/08/eternal-rest-grant-unto-her-o-lord.html
Sarah Harkins, RIP. She was not meant to undergo further poisoning through recent synods and such-like./HGL
Update: 2014 was also the year when Fr Groeschel died:
Dymphna's Road : RIP Fr. Groeschel
https://dymphnaroad.blogspot.fr/2014/10/rip-fr-groeschel.html
B E R G O G L I O 200 (6+6+8)
6 6 8 7 7 7 7 7 7 420 (7*6)
6 9 2 1 9 1 6 3 9 046 (the units)
Χ ό ρ χ ε Μ ά ρ ι ο Μ π ε ρ γ κ ό λ ι ο
6 0 1 6 0 0 0 1 0 0 0 0 0 1 0 0 0 0 0 0 1500
0 7 0 0 0 4 0 0 1 7 4 8 0 0 0 2 7 3 1 7 0510
0 0 0 0 5 0 1 0 0 0 0 0 5 0 3 0 0 0 0 0 0014 2024
I seem to have been wrong saying the Greek gematria is chronogram for 2014, I see this adds up to 2024 instead./HGL
VERY Happy that I Left the Swedish State Church
It is basically the same as the Norwegian State Church and look here:
mail dot com : Norway's state church votes in favor of same-sex marriages
https://www.mail.com/int/news/europe/4268036-norways-church-votes-favor-same-sex-marriages.html
If you are Named after Saint hmmm Vladimir of Kiev ... is that the Number of the Beast?
I think the saint who converted himself with the real Sviataya Rus' might prefer the spelling Volodymyr by now:
V 86 80 6
o 79 150 15 (719
l 76 220 21 256
o 73 290 24 975 counting minuscules)
d 68 350 32
y 89 430 41
m 77 500 48
y 89 580 57
r 82 660 59 719
I am not saying Volodymyr Yelchenko is a good politician. I think the Poles are lots better. But numerology does NOT make him the beast. And he is perfectly right to be angry about the idiocy of Ban Ki-moon.
Hans Georg Lundahl
Nanterre UL
CCLX Holy Martyrs of Via Salaria
17.VI.2016
Wednesday, 15 June 2016
Publié en ligne : Le passé : Science ou Tradition
1) Publié en ligne! · 2) Publié en ligne : Le passé : Science ou Tradition
antimodernista : Le passé : Science ou Tradition 1-8
https://antimodernista.wordpress.com/2016/06/15/le-passe-science-ou-tradition-1-8/
Ensuite, en clicquant en bas le lien dans la case commentaire, on continue vers pages 9-16, 17-24 ... 73-80.
Saturday, 11 June 2016
Some Guys think Putin is a Great Guy
He was defending Christians from Muslims around Aleppo, wasn't he?
Well, have a look at this map:
That was in 2010 |
What was Putin's power-in-Russia story, by then?
1999-2000 Prime Minister
2000-2008 President
2008-2012 Prime Minister
2012-present, President again.
So, that was in the eleventh year of Putin being in power.
Putin, if you want to save your soul, clean before your own door before going elsewhere.
In fact, withdraw to Russia.
In Cyrillic, the Unicode values of your name do NOT add up to a straight multiple of 666.
In Latin alphabet, which is used many places outside Russia, there is more than one way in which the ASCII Code values add up to 666.
- WLADIMIRA is a Polish Genitive and Accusative.
- VLADIMIRB is a non-Polish and non-German and non-spaced version with meaning "Vladimir II", if you know the Byzantine usage of A, B, Γ for I, II, III.
And you are Vladimir II in three ways:
- in your family (VLADIMIRA, Vladimir I, being "Wladimir Spiridonowitsch Putin", as I am looking up on German wiki),
- as post-Czarist Russian ruler (VLADIMIRA, Vladimir I, being Lenin),
- and as a champion of Christians against Turks too. VLADIMIRA, Vladimir I, in this last respect being Vlad Tepec.
- V POUTINE is French, with a space, without a point. If you meddle in France in a pointless way .... intimidations against this writer might be pointless, trying to seduce right wing French Christians might be very pointless.
But Cyrillic alphabet gives you some hope - if you can withdraw into being relevant only or mainly there, not in area of Latin alphabet - and if you stop abortions.
Oh, speaking of stopping things, it is not great to have both legalised sodomy so that sodomites cannot be punished by police and judges and allow non-powerful sodomites to be punished by bullying. Without bullies getting punished for being bullies.
I hope not to be in Paris for the exact time when you visit. But yesterday seven slips of paper with a number of URLs including this blog were put on cars outside the Russian Embassy. I think you WILL get notified about this.
Your country - perhaps along with India - has one of the highest infant mortalities in the world, since the unborn are also infants.
How about fixing that with some legislation, I have heard some describe that as "Christian Sharia", but that is what Constantine did!
Oh, and the Gothic Orthodox Church and its Archbishop Teoderik? Back in 2012, today's date, I posted a blog post by him on my wall, about the political prisoners, in your camps, from among his faithful.
Today the site of the Gothic Orthodox Church is down, the blogs of Archbishop Teoderik has no messages, I can find nearly nothing about them. But I have not forgotten.
And speaking of persecution and bullying, what about this story:
Почувствовать эпоху на себе «Патриотические» активисты закидали яйцами детей, участвовавших в историческом конкурсе
Meduza
15:05, 28 апреля 2016
https://meduza.io/feature/2016/04/28/pochuvstvovat-epohu-na-sebe
I copied sentence after sentence into google translate, and some came out as intelligible English even.
The guys who bullied Liudmila Ulitzkaja, have they been punished?
Or is Russia a bully-o-cracy?
Hans Georg Lundahl
Nanterre UL
St Barnabas, Apostle and Martyr
11.VI.2016
Salaminae, in Cypro, natalis sancti Barnabae Apostoli, qui, natione Cyprius, cum Paulo Gentium Apostolus a discipulis ordinatus, multas regiones cum eo peragravit, injunctum sibi opus Evangelicae praedicationis exercens; postremo, Cyprum profectus, ibi Apostolatum suum glorioso martyrio decoravit. Ejus corpus, tempore Zenonis Imperatoris, ipso Barnaba revelante, repertum est, una cum codice Evangelii sancti Matthaei, ejusdem Barnabae manu descripto.
Sancte Barnaba, ora pro nobis!
Appendix, calculating ASCII Code:
W | 87 | V | 86 | V | 86 |
---|---|---|---|---|---|
L | 76 | L | 76 | 32 | |
A | 65 | A | 65 | P | 80 |
D | 68 | D | 68 | O | 79 |
I | 73 | I | 73 | U | 85 |
M | 77 | M | 77 | T | 84 |
I | 73 | I | 73 | I | 73 |
R | 82 | R | 82 | N | 78 |
A | 65 | B | 66 | E | 69 |
Et la fin de cette histoire de noms de rues
1) Rues du Huitième Arrondissement, en excluant ce qui vient après P, ceux qui sont nés après 1800 ou ce qui n'est pas une personne avec les dates de vie · 2) Rues du Cinquième, même règle, sauf que je ne m'arrête pas avant la fin de l'alphabet · 3) Et la fin de cette histoire de noms de rues
D'abord, completons la liste pour le huitième:
- Source (encore une fois):
Toutes les rues de A à Z du 8ème arrondissement de Paris
http://www.parisrues.com/rues08/08-toutes-les-rues.html
Sauf pour les deux Vernet qui précèdent le dernier, merci la wikie!
- 1451-1500 L'ancienne rue Rousselet, qui existait déjà en 1769, reçut par un décret du 31 janvier 1850 le nom de l'écrivain François Rabelais (La Devinière, en 1483 ou 1494 - Paris, le 9 avril 1553)
- 1501-1550 Rue en impasse ouverte en 1883 et cédée à la Ville de Paris par la Société du quartier Marbeuf, suivant un contrat du 22 octobre 1885. En raison du voisinage de la rue François-Ier, un arrêté du 30 août 1884 lui donna le nom de l'imprimeur et lexicographe Robert Estienne (Paris, en 1503 - Genève, le 7 septembre 1559).
- 1551-1600
- Le nom du cours la Reine rappelle que cette promenade fut créée en 1616 pour la reine Marie de Médicis (Florence, le 27 avril 1575 - Cologne, le 3 juillet 1642). La partie comprise entre la place du Canada et la place de l'Alma a été rebaptisée plus tard cours Albert-Ier.
- Cette avenue, ouverte en 1861 par la Ville de Paris, reçut par un décret du 11 septembre 1869 le nom du peintre flamand Antoine Van Dyck (Anvers, le 22 mars 1599 - Blackfriars, le 9 décembre 1641). Autour du parc Monceau, plusieurs rues portent des noms d'artistes.
- Voie ouverte en 1861 par la Ville de Paris. On a groupé dans le voisinage du parc Monceau des noms d'artistes et un décret du 11 septembre 1869 lui donna le nom du peintre espagnol Diego Vélasquez (Séville, le 6 juin 1599 - Madrid, le 6 août 1660).
- Le nom du cours la Reine rappelle que cette promenade fut créée en 1616 pour la reine Marie de Médicis (Florence, le 27 avril 1575 - Cologne, le 3 juillet 1642). La partie comprise entre la place du Canada et la place de l'Alma a été rebaptisée plus tard cours Albert-Ier.
- 1601-1650
- Dans le voisinage du parc Monceau, où ont été groupés des noms de peintres, un décret du 10 août 1868 donna à cette rue le nom du peintre hollandais Paul Rembrandt Van Ryn (Leyde, le 15 juillet 1606 - Amsterdam, le 4 octobre 1669).
- Rue ouverte vers 1861 par la Ville de Paris, et qui fait partie du parc de Monceau. Un décret du 11 septembre 1869 lui donna le nom du peintre hollandais Jacob van Ruysdael (Haarlem, 1628 ou 1629 - Amsterdam, vers le 10 mars 1682). On a groupé des noms d'artistes dans le voisinage du parc Monceau.
- Dans le voisinage du parc Monceau, où ont été groupés des noms de peintres, un décret du 10 août 1868 donna à cette rue le nom du peintre hollandais Paul Rembrandt Van Ryn (Leyde, le 15 juillet 1606 - Amsterdam, le 4 octobre 1669).
- 1701-1750
- [La partie la plus ancienne de la voie a été ouverte par le lieutenant-général Louis d'Astorg d'Aubarède, marquis de Roquépine (1714-1782).]
- La rue Vernet a été formée sur l'ancien chemin des Vignes, qui existait depuis le 17ème siècle, est une partie de l'ancien promenoir de Chaillot, créé en 1777. La rue des Vignes a reçu en 1864 le nom de rue Vernet en l'honneur de la célèbre famille de peintres français : Claude Joseph Vernet*, son fils Carle Vernet, et le fils de ce dernier Horace Vernet ... *Joseph Vernet, né Claude Joseph Vernet à Avignon le 14 août 1714 et mort à Paris le 3 décembre 1789, est un peintre, dessinateur et graveur français, célèbre pour ses marines.*
- Numéros impairs et 2-26 : 8ème arrondissement Numéros 28-fin : 9ème arrondissement Rue ouverte à partir de 1824 qui reçut par une ordonnance du 2 juin de la même année le nom de l'avocat François-Denis Tronchet (Paris, le 23 mars 1726 - Paris, le 10 mars 1806), l'un des défenseurs de Louis XVI et l'un des rédacteurs du Code Civil. La Chapelle expiatoire est à proximité, d'où ce choix.
- Cette rue, ouverte en 1863 par la Ville de Paris, remplace un ancien passage qui appartenait à Jacques Guillaume Bouret de Vézelay (1733-1801), un spéculateur immobilier.
- Rue ouverte en 1865 par la Ville de Paris, sur les terrains provenant de l'ancien abattoir du Roule. Dans ce quartier où ont été groupés des noms de juristes, un décret du 2 mars 1867 lui donna le nom du juriste et homme politique, Jean-Baptiste Treilhard (Brive-la-Gaillarde, le 3 janvier 1742 - Paris, le 5 décembre 1810). Il rédigea en grande partie le Code civil.
- Numéros 1-11 et 2-18 : 9ème arrondissement Numéros 13-fin et 20-fin : 8ème arrondissement L'ancienne rue Desèzes reçut par une ordonnance du 2 juin 1824 le nom de l'avocat et premier président de la Cour de Cassation, le comte Romain de Sèze (Bordeaux le 26 septembre 1748 - Paris, le 2 mai 1828), l'un des défenseurs de Louis XVI. La rue se trouve dans le voisinage de la chapelle expiatoire, d'où ce choix.
- L'ancienne rue Notre-Dame-de-Grâce fut rebaptisée par un décret du 27 février 1867 et reçut le nom de l'un des défenseurs de Marie-Antoinette, Guillaume-Alexandre Tronson Ducoudray (Reims, le 18 novembre 1750 - Sinnamary (Guyane), le 27 mai 1798). La Chapelle expiatoire n'est pas loin, d'où ce choix.
- [La partie la plus ancienne de la voie a été ouverte par le lieutenant-général Louis d'Astorg d'Aubarède, marquis de Roquépine (1714-1782).]
- 1751-1775
- La rue Vernet a été formée sur l'ancien chemin des Vignes, qui existait depuis le 17ème siècle, est une partie de l'ancien promenoir de Chaillot, créé en 1777. La rue des Vignes a reçu en 1864 le nom de rue Vernet en l'honneur de la célèbre famille de peintres français : Claude Joseph Vernet, son fils Carle Vernet*, et le fils de ce dernier Horace Vernet ... *Antoine Charles Horace Vernet, dit Carle Vernet, né à Bordeaux le 14 août 1758 et mort à Paris le 27 novembre 1836, est un artiste peintre de genre et de cheval, dessinateur et lithographe français.*
- Cette rue, ouverte en 1823, a reçu par un arrêté du 20 janvier 1881 le nom de l'architecte de l'église de la Madeleine, Pierre-Alexandre Vignon (1763-1828).
- L'ancienne rue Saint-Jean-Baptiste, ouverte en 1788, changea de nom par un décret du 27 février 1867 et reçut le nom de l'avocat, le comte Antoine Roy (Savigny, le 5 mars 1764 - Paris, le 3 avril 1847), homme politique, grand financier et ministre des Finances de Charles X.
- La rue Vernet a été formée sur l'ancien chemin des Vignes, qui existait depuis le 17ème siècle, est une partie de l'ancien promenoir de Chaillot, créé en 1777. La rue des Vignes a reçu en 1864 le nom de rue Vernet en l'honneur de la célèbre famille de peintres français : Claude Joseph Vernet, son fils Carle Vernet*, et le fils de ce dernier Horace Vernet ... *Antoine Charles Horace Vernet, dit Carle Vernet, né à Bordeaux le 14 août 1758 et mort à Paris le 27 novembre 1836, est un artiste peintre de genre et de cheval, dessinateur et lithographe français.*
- 1776-1800
- La rue Saint-Michel, du nom d'une enseigne, fut ouverte en 1788. Un décret du 24 août 1864 lui donna le nom de l'amiral et homme politique Henri de Rigny (Toul, le 2 février 1782 - Paris, le 6 novembre 1835). Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise (division inconnue).
- La rue Vernet a été formée sur l'ancien chemin des Vignes, qui existait depuis le 17ème siècle, est une partie de l'ancien promenoir de Chaillot, créé en 1777. La rue des Vignes a reçu en 1864 le nom de rue Vernet en l'honneur de la célèbre famille de peintres français : Claude Joseph Vernet, son fils Carle Vernet, et le fils de ce dernier Horace Vernet (Paris, le 30 juin 1789 - Paris, le 17 janvier 1863).
- La rue Saint-Michel, du nom d'une enseigne, fut ouverte en 1788. Un décret du 24 août 1864 lui donna le nom de l'amiral et homme politique Henri de Rigny (Toul, le 2 février 1782 - Paris, le 6 novembre 1835). Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise (division inconnue).
Alors, faisons un peu de décomptage.
- 451-1300
- 45 56 63 63 70 74 87
45 56 63 63 70 87 87
01 02 03 04 05 06 07
Minimum 45
Médiane 63
Maximum 87
Avec moins de huit valeurs, pas la peine de prendre les quartiles hautes et basses.
- 1451-1500
- 41 48 48 53 59 64 67 84
41 48 48 53 59 64 69 84
41 48 48 53 59 64 70 84
41 48 48 53 64 67 70 84
41 48 48 53 64 69 70 84
41 48 48 53 64 70 70 84
01 02 03 04 05 06 07 08
Minimum 41
Quartile basse 48
Médiane entre 53 et 59 ou entre 53 et 64
Quartile haute entre 64 et 67 ou entre 64 et 69 ou entre 64 et 70 ou entre 67 et 70 ou entre 69 et 70 ou sur 70 (selon les âges pour lesquels il y a divergences)
Maximum 84
- 1501-1550
- 32 50 55 56 59 62 64 68 80 83
01 02 03 04 05 06 07 08 09 10
Minimum 32
Quartile basse 55
Médiane entre 59 et 62
Quartile haute 68
Maximum 83
- 1551-1600
- 38 42 53 55 61 67 77
01 02 03 04 05 06 07
Minimum 38
Médiane 55
Maximum 77
- 1601-1650
- 53 63 65 66 70 70 77 82
54 63 65 66 70 70 77 82
01 02 03 04 05 06 07 08
Minimum 53 ou 54.
Quartile basse entre 63 et 65.
Médiane entre 66 et 70.
Quartile haute entre 70 et 77.
Maximum 82
- 1651-1700
- 52 52 65 80 81 83
01 02 03 04 05 06
Minimum 52.
Médiane entre 65 et 80.
Maximum 83.
- 451-1700 version basse:
- 32 38 41 42 45 48 48 50 52 52 53 53 53 55 55 56 56 59 59 61 62 63 63
01 02 03 04 05 06 07 08 09 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23
63 64 64 65 65 66 67 67 68 70 70 70 74 77 77 80 80 81 82 83 83 84 87
24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46
Minimum 32
Quartile basse 53
Médiane 63
Quartile haute 70
Maximum 87
- 451-1700 version haute:
- 32 38 41 42 45 48 48 50 55 52 52 53 53 54 55 56 56 59 61 62 63 63 63
01 02 03 04 05 06 07 08 09 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23
64 64 65 65 66 67 68 70 70 70 70 70 77 77 80 80 81 82 83 83 84 87 87
24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46
Minimum 32
Quartile basse 53
Médiane entre 53 et 54
Quartile haute 70
Maximum 87.
- 1701-1750
- 47 50 51 53 54 61 67 67 68 68 68 68 70 70 72 72
01 02 03 04 05 06 07 08 09 10 11 12 13 14 15 16
72 72 74 75 76 77 77 77 77 79 79 79 80 81 83 83
17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32
Minimum 47
Quartile basse entre 67 et 68
Médiane 72
Quartile haute 77
Maximum 83
- 1751-1775
- 27 28 32 36 38 41 50 56 62 62 65 65 66 68 68 69 69 70
01 02 03 04 05 05 07 08 09 10 11 12 13 14 15 16 17 18
72 72 74 74 75 76 78 79 79 80 82 83 83 84 85 86 92 95
19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36
Minimum 27
Quartile basse 62
Médiane entre 70 et 72
Quartile haute entre 79 et 80
Maximum 95.
- 1776-1800
- 36 41 42 51 52 53 58 62 63 64 64 66
01 02 03 04 05 06 07 08 09 10 11 12
71 71 72 73 74 74 74 75 78 78 80
13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23
Minimum 36
Quartile basse entre 53 et 58
Médiane 66
Quartile haute 74
Maximum 80.
Deux mots pour la fin:
Je viens de prendre des noms de rues. Celles-ci ne sont en général pas appelées d'après des gens qui meurent avant l'âge adulte. Il est plus facile, j'imagine, de trouver des rues appelées Saint-Exupéry ou Druon que de trouver des rues appelées Le Petit Prince ou Tistou les Pouces Verts. Donc, les noms de rue nous disent rien sur le combien des enfants qui meurent avant de devenir adultes. Ceci ne reflète pas l'expectance de vie à la naissance, mais l'âge auquel on peut s'attendre à mourir, plus ou moins gravement, une fois qu'on a survécu l'enfance et l'adolescence.
Pour supplémenter, voici l'autre série, message 6:
Chirurgiens et surtout Sage-femmes [ce blog ci]
http://nov9blogg9.blogspot.com/2015/01/chirurgiens-et-surtout-sage-femmes.html
Duquel je cite:
"En trente-quatre ans de métier, Catherine Desvoyes est marraine quinze fois ... elle a ondoyé 182 bébés sur 3839 nouveaux-nés, dont 59 morts dans les premiers 20 jours (32,4%) sur la totalité 526 décès (13,7%)"
Il semble donc y avoir eu 13,7% de décès pour la petite enfance à Dourdan, à l'époque de la sage-femme Catherine Desvoyes.
Ou message 9, sur les royautés du Moyen Âge:
Φιλολoγικά/Philologica : Moyen Âge, Royautés
http://filolohika.blogspot.com/2015/02/moyen-age-royautes.html
Là, je n'ai pas completé les pourcents de gens qui meurent en enfants, mais j'ai l'impression que c'est davantage qu'à Dourdan, 18e Siècle. Je viens de completer maintenant. 51 personnes meurent en âge adulte, hors les couches. Deux femmes (18 et 20) meurent en couches. 20 personnes meurent avant l'âge de 20 ET avant de se marier. Les royautés du Moyen Âge semblent donc avoir eu une mortalité d'enfance et de jeunesse nettement supérieure à la bourgeoisie de Dourdan du 18e Siècle.
Par contre, quand on se souvient aux États-Unis d'un arrière-grandparent étant une de quatre survivants sur 8 enfants nés ou d'avoir visité Finlande où il y avait à périodes une grande mortalité d'enfance, alors, il faut se souvenir que la campagne des États-Unis ou Finlande en 19e Siècle étaient des pays pauvres. Et le peuple a pu être encore appauvri par l'industrialisme, comme c'était certainement le cas à Manchester.
L'autre chose: j'étais d'abord un peu surpris que le 18e Siècle (surtout en France, les célébrités internationaux commencent à se raréfier sur les noms de rue) était quand même tellement supérieur à ce qui était avant - mais de l'autre côté la rechute pour ceux nés dans le dernier quartier du 18e Siècle. Peut-être que l'industrialisme, arrivant en France, à contribué, même pour les célébrités, de baisser les vies. De l'autre coté, pendant le Romantisme, pas mal de célébrités vivent une vie plus intense et donc parfois plus courte, comme l'anglais Lord Byron. Par contre, si Lord Byron en termes de longévité rappelle Clovis ou St Louis (ou mort encore plus jeune encore), il l'a fait pour une cause moins pieuse que ces autres - quoique peut-être plus pieuse que sa vie antérieure.
Hans Georg Lundahl
BU de Nanterre
St. Barnabé, Apôtre et Martyr*
11.VI.2016
* Salaminae, in Cypro, natalis sancti Barnabae Apostoli, qui, natione Cyprius, cum Paulo Gentium Apostolus a discipulis ordinatus, multas regiones cum eo peragravit, injunctum sibi opus Evangelicae praedicationis exercens; postremo, Cyprum profectus, ibi Apostolatum suum glorioso martyrio decoravit. Ejus corpus, tempore Zenonis Imperatoris, ipso Barnaba revelante, repertum est, una cum codice Evangelii sancti Matthaei, ejusdem Barnabae manu descripto.
Friday, 10 June 2016
Rues du Cinquième, même règle, sauf que je ne m'arrête pas avant la fin de l'alphabet
1) Rues du Huitième Arrondissement, en excluant ce qui vient après P, ceux qui sont nés après 1800 ou ce qui n'est pas une personne avec les dates de vie · 2) Rues du Cinquième, même règle, sauf que je ne m'arrête pas avant la fin de l'alphabet · 3) Et la fin de cette histoire de noms de rues
- Source:
Toutes les rues de A à Z du 5ème arrondissement de Paris
http://www.parisrues.com/rues05/05-toutes-les-rues.html
- Hors compte:
- rue du Fouarre:
"Percée en 1202 sur le clos Garlande ou clos Mauvoisin où existait précédemment un cimetière israélite, elle fut d'abord appelée rue des Escoliers ou rue de l'Ecole, puis comme les écoliers, suivant les sévères instructions du pape Urbain V, étaient obligés « d'écouter les leçons assis à terre et non assis sur des bancs par esprit d'abnégation, pour écarter de leur jeunesse toute tentation d'orgueil », des bottes de paille jonchaient la rue, ce qui lui fit donner sous François Ier le nom de rue au Feurre ou du Fouarre, vieux mot français qui veut dire paille ou fourrage."
Nouveau Dictionnaire Historique de Paris, Gustave Pessard, 1904
[Perspective sur la situation d'académicien pauvre.]
- rue Fustel de Coulanges:
Un arrêté du 24 juin 1907 donna à cette rue le nom de l'historien Numa Denis Fustel de Coulanges (Paris, le 18 mars 1830 - Massy, le 12 septembre 1889) en raison du voisinage de l'école Normale Sup qu'il dirigea.
[Un historien, que j'admire. Ni libéral, ni Marxiste.]
- rue Mouffetard:
Cette rue est une partie de l'ancienne voie gallo-romaine qui allait de Lutèce à Fontainebleau. Cet ancien chemin traversait, au 13ème siècle, un lieu-dit appelé Mons Cetardi (la colline de Cetardus), nom qui fut corrompu en Mouffetard (ou de multiples variantes durant les siècles).
- rue du Fouarre:
- 451-500
- La rue honore la mémoire de Clovis (né vers 466 - Paris, le 27 novembre 511), roi de tous les Francs de 481 à 511, considéré comme le premier roi de France. "Apres la découverte du tombeau de Clovis et de celui de la reine Clotilde, dans les fouilles qui furent pratiquées en cet endroit le 10 mars 1807, pour le terrassement de cette voie, il fut décidé qu'on lui donnerait le nom de Clovis, parce que cette rue se trouvait ouverte sur l'emplacement de l'ancienne abbaye Sainte-Geneviève, fondée par Clovis, et où il avait été enterré vers l'an 511. Les corps furent relevés et transportés dans les caveaux de la basilique de Saint-Denis. La partie qui se termine rue du Cardinal-Lemoine date de 1809, elle fut crééé sur l'emplacement de l'ancien collège des Irlandais et les dépendances du collège de Boncourt." Nouveau Dictionnaire Historique de Paris, Gustave Pessard, 1904
- Rue projetée dès 1807 à travers les jardins de l'ancienne abbaye de Sainte-Geneviève, elle ne fut achevée qu'en 1841. Elle honore la mémoire de Clotilde (vers 475 - Tours, en 545), épouse de Clovis et reine des Francs. Elle fut enterrée dans l'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul, devenue depuis Sainte-Geneviève.
- L'ouverture de cette rue au travers de l'ancienne abbaye de Sainte-Geneviève fut décidée en 1802 par le ministre de l'intérieur Champigny pour améliorer les abords du Panthéon mais ne fut réaisée qu'en 1832, temps nécessaire pour acquérir les terrains auprès de l'État. Elle prend le nom du roi de France Clotaire Ier (vers 498 - Soissons, le 29 novembre 561) en raison de sa proximité avec l'abbaye Sainte-Geneviève et de la rue Clovis et rue Clotilde voisines.
- La rue honore la mémoire de Clovis (né vers 466 - Paris, le 27 novembre 511), roi de tous les Francs de 481 à 511, considéré comme le premier roi de France. "Apres la découverte du tombeau de Clovis et de celui de la reine Clotilde, dans les fouilles qui furent pratiquées en cet endroit le 10 mars 1807, pour le terrassement de cette voie, il fut décidé qu'on lui donnerait le nom de Clovis, parce que cette rue se trouvait ouverte sur l'emplacement de l'ancienne abbaye Sainte-Geneviève, fondée par Clovis, et où il avait été enterré vers l'an 511. Les corps furent relevés et transportés dans les caveaux de la basilique de Saint-Denis. La partie qui se termine rue du Cardinal-Lemoine date de 1809, elle fut crééé sur l'emplacement de l'ancien collège des Irlandais et les dépendances du collège de Boncourt." Nouveau Dictionnaire Historique de Paris, Gustave Pessard, 1904
- 1200-1250
- La rue existait en 1313, précédemment comme rue Perdue. Sur un plan de 1615, elle est appelée rue Saint-Michel. Par une ordonnace du 5 août 1844, et en raison du quartier des Ecoles où elle se trouve, on lui donne le nom du dominicain, philosophe, théologien, naturaliste, chimiste et alchimiste germanique Albert le Grand, ou Maître Albert (Lauingen, entre 1193 et 1206 - Cologne, le 15 novembre 1280). Il fut professeur de renom au 13ème siècle et notamment le maître de Thomas d'Aquin. La place est créée au début du 13ème siècle avec l'édification de maisons en 1210. Le nom de la place provient dès sa création d'une déformation soit du nom d'Aubert, abbé de Sainte-Geneviève qui créa les étaux de bouchers sur ce site au 12ème siècle, soit de Maître Albert. Le 12 mai 1588, c'est sur cette place qu'est érigée la toute première barricade des Ligueurs soutenant le duc de Guise lors de la journée des barricades. Elle est aussi un ancien lieu d'exécutions publiques des imprimeurs au 16ème siècle siècle dans Paris, notamment celle d'Étienne Dolet, dont on pouvait trouver la statue jusqu'à la Seconde Guerre mondiale. L'impasse Maubert a la même origine.
- La rue porte depuis un arrêté du 2 avril 1868 le nom de Jean Lemoine (Crécy-en-Ponthieu, 1250 - Avignon, 1313), cardinal, évêque d'Arras et légat du pape Boniface VIII auprès de Philippe le Bel, fondateur du collège portant son nom à travers la voie a été percée. La cité du Cardinal-Lemoine a la même origine.
- La rue existait en 1313, précédemment comme rue Perdue. Sur un plan de 1615, elle est appelée rue Saint-Michel. Par une ordonnace du 5 août 1844, et en raison du quartier des Ecoles où elle se trouve, on lui donne le nom du dominicain, philosophe, théologien, naturaliste, chimiste et alchimiste germanique Albert le Grand, ou Maître Albert (Lauingen, entre 1193 et 1206 - Cologne, le 15 novembre 1280). Il fut professeur de renom au 13ème siècle et notamment le maître de Thomas d'Aquin. La place est créée au début du 13ème siècle avec l'édification de maisons en 1210. Le nom de la place provient dès sa création d'une déformation soit du nom d'Aubert, abbé de Sainte-Geneviève qui créa les étaux de bouchers sur ce site au 12ème siècle, soit de Maître Albert. Le 12 mai 1588, c'est sur cette place qu'est érigée la toute première barricade des Ligueurs soutenant le duc de Guise lors de la journée des barricades. Elle est aussi un ancien lieu d'exécutions publiques des imprimeurs au 16ème siècle siècle dans Paris, notamment celle d'Étienne Dolet, dont on pouvait trouver la statue jusqu'à la Seconde Guerre mondiale. L'impasse Maubert a la même origine.
- 1251-1300 Cette rue porte depuis un arrêté du 8 juillet 1902 le nom du poète, homme politique et écrivain italien Dante Alighieri (Florence, mai 1265 - Ravenne, le 14 septembre 1321), qui aurait, vers 1301, habité le quartier, rue de Bièvre.
- 1451-1500 Rue ouverte en 1937 par la Ville de Paris sur des terrains appartenant à l'École normale supérieure. Un arrêté du 10 février de la même année lui donne le nom de l'humaniste et théologien néerlandais Erasme (Rotterdam, le 28 octobre 1466 (ou peut-être 1467 ou 1469)- Bâle, le 12 juillet 1536), considéré comme l’une des figures majeures de la Renaissance tardive.
- 1501-1550
- La rue Jean-Calvin faisait anciennement partie intégrante de la rue de l'Abbé-de-l'Épée, qui fut morcelée en différentes parts à la fin du 19ème siècle. Depuis un arrêté du 27 juillet 1936, elle ditt son nom au réformateur protestant Jehan Cauvin dit Jean Calvin (Noyon, le 10 juillet 1509 - Genève, le 27 mai 1564).
- Cet ancien chemin du 13ème siècle est déjà présent sur les plans de Paris en 1588 sous le nom de rue du Puits-qui-parle. Un décret du 27 février 1867 lui donne le nom de Jacques Amyot (Melun, le 30 octobre 1513 - Auxerre, le 6 février 1593), un prélat français et l'un des traducteurs les plus renommés de la Renaissance.
- Dénommée en 1540 rue du Petit-Moine, à cause d'une enseigne, un décret du 27 février 1867 lui donna le nom d'André Vésale (Bruxelles, le 31 décembre 1514 - Zakynthos, le 15 octobre 1564), célèbre anatomiste belge, considéré comme le créateur de l'anatomie humaine. Le voisinage de la boulangerie des hôpitaux, ancien hospice Scipion, guida ce choix.
- Cette rue fut ouverte sur l'emplacement de la Bièvre. Un arrêté du 6 novembre 1905 lui donna le nom de l'apothicaire et écrivain Nicolas Houël (né vers 1520 - Paris, 1584), fondateur de la Maison des apothicaires devenue la Faculté de pharmacie.
- Une partie de cette rue existait déjà en 1230. En raison du voisinage de la Faculté de droit, un décret du 2 octobre 1865 lui donna le nom du jurisconsulte Jacques Cujas (Toulouse, en 1522 - Bourges, le 4 octobre 1590).
- Cette rue existait en 1540 sous le nom de rue de la Barre. Elle prit plus tard le nom du financier italien Scipion Sardini (Lucques, en 1526 - Paris, en 1609), qui avait fait construire dans cette voie, au 16ème siècle, un hôtel particulier.
- La rue Jean-Calvin faisait anciennement partie intégrante de la rue de l'Abbé-de-l'Épée, qui fut morcelée en différentes parts à la fin du 19ème siècle. Depuis un arrêté du 27 juillet 1936, elle ditt son nom au réformateur protestant Jehan Cauvin dit Jean Calvin (Noyon, le 10 juillet 1509 - Genève, le 27 mai 1564).
- 1551-1600
- Rue ouverte suite à une ordonnace du 22 juin 1837, autorisant la vente des terrains de l'ancienne abbaye de Saint-Victor. Elle reçut le nom de Guy de La Brosse (Rouen, vers 1586 - Paris, le 31 août 1641), médecin de Louis XIII, fondateur du Jardin des Plantes qui se trouve dans le voisinage.
- Au début du 13ème siècle, la rue s'appellait rue Bordelles ou rue Bourdelle. Elle est nommée en 1809 du nom du mathématicien, physicien et philosophe français René Descartes (La Haye en Touraine, le 31 mars 1596 - Stockholm, le 11 février 1650).
- Rue ouverte suite à une ordonnace du 22 juin 1837, autorisant la vente des terrains de l'ancienne abbaye de Saint-Victor. Elle reçut le nom de Guy de La Brosse (Rouen, vers 1586 - Paris, le 31 août 1641), médecin de Louis XIII, fondateur du Jardin des Plantes qui se trouve dans le voisinage.
- 1601-1650
- La rue Nicole fut créée en 1868 sur les terrains de l'ancien couvent des Carmélites. Elle fut prolongée en 1908 jusqu'à la rue Saint-Jacques sous le nom complet de Pierre Nicole (Chartres, le 19 octobre 1625 - Paris, le 16 novembre 1695), théologien de l'abbaye Port-Royal, en raison du voisinage de l'ancienne communauté de Port-Royal.
- Cette voie médiévale remontant au début du 13ème siècle, rejoignait la rue Saint-Jacques avant l'ouverture de la rue Dante. A partir de 1247, elle est connue comme la rue des Plâtriers, rue de la Plâtrière, rue de la Plâtrerie, rue du Plâtre-Saint-Jacques, ou rue Rodolphe le Plâtrier. Au 15ème siècle, on la dénomme rue du Plâtre. Elle a perdu sa rive sud lors du percement du boulevard Saint-Germain. Le 24 août 1864 elle reçut le nom du jurisconsulte français Jean Domat (ou Daumat) (Clermont-Ferrand, 30 novembre 1625 - 14 mars 1696), le plus célèbre représentant du droit au siècle de Louis XIV, actif dans le quartier des Ecoles. Du côté impair, elle est surélevée par des degrés.
- En raison du voisinage de l'ancienne abbaye Saint-Victor, un décret du 2 mars 1867 donna à cette rue le nom du chanoine de Saint-Victor, Jean-Baptiste de Santeuil (ou Santeul) (Paris, le 5 décembre 1630 - Dijon, le 5 août 1697), auteur de poèmes latins.
- Située dans le quartier des Ecoles, la rue porte depuis un décret du 27 février 1867 le nom de l'oratorien et philosophe, le père Nicolas Malebranche (Paris, le 5 août 1638 - Paris, le 13 octobre 1715). "Formée vers 1646 sur l'emplacement des anciens fossés de la ville, elle portait le nom de rue Sainte-Hyacinthe et remplaçait une rue Saint-Thomas ouverte en 1585, en vertu de lettre patente de 1540. Cette rue Saint-Thomas avait été bâtie sur un terrain appartenant aux Jacobins de la rue Saint-Jacques; et c'est pour cela qu'elle avait pris le nom de Saint-Thomas (d'Aquin), un des saints les plus honorés de cet ordre. Ce fut un moment la rue des Remparts, puis rue des Fossés-Sant-Michel. La rue Malebranche a été réunie à la rue Paillet en 1877." Nouveau Dictionnaire Historique de Paris, Gustave Pessard, 1904
- La rue Nicole fut créée en 1868 sur les terrains de l'ancien couvent des Carmélites. Elle fut prolongée en 1908 jusqu'à la rue Saint-Jacques sous le nom complet de Pierre Nicole (Chartres, le 19 octobre 1625 - Paris, le 16 novembre 1695), théologien de l'abbaye Port-Royal, en raison du voisinage de l'ancienne communauté de Port-Royal.
- 1651-1700
- L'ancienne ruelle Chartière, tracée sur le plan de Gomboust de 1652, devint plus tard la rue Neuve-Sainte-Geneviève. En raison du voisinage du Jardin des Plantes, un décret du 24 août 1864 lui donna le nom du botaniste Joseph Pitton de Tournefort (Aix-en-Provence, le 5 juin 1656 - Paris, le 28 décembre 1708).
- Cette ancienne rue de Paris a porté de très nombreux noms au cours des siècles : créé comme chemin du Moulin à Vent, elle devient rue du Puits-de-Fer (vers 1539), puis rue des Morfondus (sur le plan Corrozet de 1532), rue Tiron, rue Neuve-Saint-Étienne (sur le plan Jouvin de Rochefort de 1672), rue Neuve-Saint-Étienne-Saint-Marcel (sur le plan La Tynna de 1816). En 1867, elle prend son appellation actuelle en hommage à l'historien, professeur de français, écrivain et recteur de l'université Charles Rollin (Paris, le 30 janvier 1661 - Paris, le 13 septembre 1741) qui a vécu au n° 30 pendant 50 ans jusqu'à sa mort. En 1877, son tronçon situé au-delà de la rue Monge est débaptisé et devient la rue de Navarre.
- L'ancienne ruelle Chartière, tracée sur le plan de Gomboust de 1652, devint plus tard la rue Neuve-Sainte-Geneviève. En raison du voisinage du Jardin des Plantes, un décret du 24 août 1864 lui donna le nom du botaniste Joseph Pitton de Tournefort (Aix-en-Provence, le 5 juin 1656 - Paris, le 28 décembre 1708).
- 1701-1750
- La rue Linné, comme la rue Geoffroy-Saint-Hilaire qui la prolonge et la rue Jussieu, sont des anciennes sections de la rue du Faubourg-Saint-Victor. Elle existait déjà au 11ème siècle. Elle porte depuis le 2 octobre 1865 le nom du naturaliste suédois Carl Linnæus, puis Carl von Linné (Råshult (Suède), le 23 mai 1707 - Uppsala (Suède), le 10 janvier 1778), après son anoblissement.
- Située sur d'anciens marais, elle fut amorcée en 1765 et alors dénommée la rue de la Desserte du Jardin des Plantes, elle fut prolongée en 1790 jusqu'à l'actuelle rue Geoffroy-Saint-Hilaire. Elle doit son nom à Georges Louis Leclerc, comte de Buffon (Montbard, le 7 septembre 1707 - Paris, le 16 avril 1788), écrivain français, naturaliste et directeur du Jardin du Roi (ancienne appellation du Jardin des Plantes).
- Passage aménagé lors du remembrement de l'îlot en 1956 et provisoirement dénommée voie C/5. Un arrêté municipal du 27 décembre 1994 lui donna le nom de l'avocat, géographe ordinaire du Roi, Jean Baptiste-Michel Renou de Chavigné dit Jaillot (Paris, 1710 - Paris, 1780), auteur de nombreux documents et cartes sur Paris.
- Formée en 1567, cette rue n'était alors qu'un passage fermé la nuit qu'on appelait ruelle St-Jacques-du-Haut-Pas, puis ruelle du Cimetière(-Saint-Jacques). Vers 1810 elle fut nommée rue des Deux-Eglises, en raison de sa situation entre les deux églises de St-Jacques-du-Haut-Pas et de l'ancien séminaire de Saint-Magloire. Une ordonnance du 4 novembre 1846 lui donna son nom actuel, en hommage au prêtre Charles-Michel de L'Épée, appelé l'abbé de L'Epée (Versailles, le 24 novembre 1712 - Paris, le 23 décembre 1789), fondateur de l'Institution des sourds-muets. La rue a été prolongée, de 1867 à 1880, jusqu'à la rue Gay-Lussac. Avant 1967, la rue finissait boulevard Saint-Michel. A cette époque, on a donné le nom de place Louis Marin au carrefour formé par le débouché des rues de l'Abbé-de-l'Epée et la rue Henri-Barbusse sur le boulevard Saint-Michel (côté impair).
- Elle doit son nom à Jacques-Germain Soufflot (Irancy, le 22 juillet 1713 - Paris, le 29 août 1780), architecte du Panthéon de Paris. Elle a été prévue à la fin du 18ème siècle en même temps que le Panthéon pour lui donner une perspective. Elle a été ouverte jusqu'à la rue Saint-Jacques vers 1760. Elle a été prolongée jusqu'à l'actuel boulevard Saint-Michel pendant la seconde moitié du 19ème siècle, entre 1846 et 1876 — ce prolongement était prévu depuis 1805. La rue Soufflot s'est appelée rue du Panthéon-Français sous la révolution, et a été renommée Soufflot en 1807.
- Rue percée au commencement du 13ème siècle, elle fut primitivement dénommée rue des Bouliers ou rue au Bouloir et rue de Richebourg. Elle a porté aussi le nom de rue Neuve-d'Orléans et rue d'Orléans, puis rue d'Orléans Saint-Marcel. En raison du voisinage du Jardin des Plantes, un décret du 24 août 1864 du naturaliste et médecin Louis Jean-Marie D’Aubenton, dit Daubenton (Montbard, le 29 mai 1716 - Paris, le 31 décembre 1799).
- Cette très ancienne voie de Paris, déjà présente au 15ème siècle, portait alors le nom de rue des Poteries en raison d'anciennes poteries gallo-romaines. Vers 1600 ce nom se serait altéré en rue des Pots devenu ensuite rue des Postes. Elle prend son nom actuel en 1867 en hommage à l'abbé Charles François Lhomond (Chaulnes, 1727 - Paris, le 31 décembre 1794), un humaniste, pédagogue, grammairien et érudit français.
- L'ancienne impasse de la Photographie, ouverte par la Ville de Paris lors du percement de la rue Monge, porte depuis un arrêté du 4 juin 1962 le nom du botaniste français d’origine écossaise Michel Adanson (Aix-en-Provence, le 7 avril 1727 - Paris, le 3 août 1806) à cause de la proximité du Muséum national d'histoire naturelle. Michel Adanson est enterré au cimetière du Père-Lachaise (division 23).
- Cette rue a englobé la partie de la rue du Fouarre, comprise entre la rue de la Bûcherie et le quai de Montebello. Son ouverture a entraîné la suppression de la rue des Lavandières (ou rue Lavandières de la Place Maubert ou encore rue Lavandières Saint-Jacques). Un arrêté du 18 avril 1890 lui donna le nom du mathématicien, mécanicien et astronome Joseph Louis, comte de Lagrange (Turin, le 25 janvier 1736 - Paris, le 10 avril 1813). Il est inhumé au Panthéon de Paris.
- La rue était anciennement le prolongement de la rue du Puits-de-l'Ermite dans sa portion située au-delà de la rue Monge. Elle est rebaptisée dans sa totalité en 1891 du nom du pédagogue protestant suisse Johann Heinrich Pestalozzi (Zurich, le 12 janvier 1746 - Brugg, le 17 février 1827) après que la portion sud à angle droit eut été ouverte en 1886 et jointe à la portion est. La voie doit sa dénomination à sa situation, dans le quartier des Ecoles.
- Cette rue, ouverte en 1859, reçut par un décret du 2 mars 1864 le nom du mathématicien Gaspard Monge (Beaune, le 9 mai 1746 - Paris, le 28 juillet 1818), l'un des fondateurs de l'Ecole Polytechnique qui se trouve dans le voisinage. La place Monge porte également son nom.
- Antérieurement rue des Fossés-Saint-Victor, entre la rue du Cardinal-Lemoine et la rue Mouffetard, et rue de Fourcy-Saint-Jacques entre la rue de l'Estrapade et la rue Mouffetard. En raison du voisinage du Muséum d'histoire naturelle où il a professé, un décret du 2 octobre 1865 lui donna le nom du botaniste André Thouin (Paris, le 10 février 1747 - Paris, le 27 octobre 1824).
- Cette voie est déjà en partie présente au en 1540, entre la rue de l'Arbalète et l'ancienne rue des Bourguignons aujourd'hui disparue, sous le nom de chemin des Charbonniers puis de rue des Charbonniers et enfin de rue des Charbonniers-Saint-Marcel. Elle est complétement ouverte en 1857 afin de relier le boulevard de Port-Royal à la rue Claude-Bernard et intègre la portion de l'ancienne rue. Elle porte depuis le 2 mars 1864 le nom du chimiste français Claude Louis Berthollet (Talloires, le 9 décembre 1748 - Arcueil, le 6 novembre 1822).
- Au 14ème siècle, rue de l'Allemandier ou rue des Almandiers, puis rue des Amandiers Sainte-Geneviève. En raison du voisinage de l'Ecole polytechnique, un décret du 24 août 1864 lui donna le nom du mathématicien, astronome et physicien français Pierre-Simon de Laplace (Beaumont-en-Auge, le 23 mars 1749 - Paris, le 5 mars 1827).
- Rue ouverte en 1879 par la Ville de Paris et qui porte depuis l'arrêté du 4 mars 1881 le nom du géologue et minéralogiste Déodat Gratet de Dolomieu (né au château des Gratet de Dolomieu, le 23 juin 1750 - Châteauneuf, le 28 novembre 1801), en raison de la proximité du Muséum d'histoire naturelle de Paris et le Jardin des Plantes.
- La rue Linné, comme la rue Geoffroy-Saint-Hilaire qui la prolonge et la rue Jussieu, sont des anciennes sections de la rue du Faubourg-Saint-Victor. Elle existait déjà au 11ème siècle. Elle porte depuis le 2 octobre 1865 le nom du naturaliste suédois Carl Linnæus, puis Carl von Linné (Råshult (Suède), le 23 mai 1707 - Uppsala (Suède), le 10 janvier 1778), après son anoblissement.
- 1751-1775
- Précédemment la rue faisait partie de la rue Restaut, antérieurement la rue Neuve-des-Poirées. En raison du voisinage de la Faculté de droit, un décret du 24 août 1864 lui donna le nom du jurisconsulte Charles Bonaventure Marie Toullier (Dol-de-Bretagne, le 21 janvier 1752 - Rennes, le 19 septembre 1835).
- En 1605, c'était déjà la rue des Poules; plus tard, rue du Chataîgnier, rue Chastinière, rue du Mûrier dite des Poules en 1635. Par décret du 27 février 1867 on lui donne le nom du philosophe français, membre du Tribunat, puis professeur de philosophie à la Sorbonne, Pierre Laromiguière Livinhac-le-Haut (Aveyron), le 3 novembre 1756 - Paris, le 12 août 1837).
- Rue ouverte au 14ème siècle sous le nom de rue Copeau ou une de ses multiples variantes. Un décret du 2 décembre 1853, en raison du voisinage du Jardin des Plantes, la renomma pour honorer la mémoire du zoologiste et homme politique Bernard-Germain de Lacépède (Agen, le 26 décembre 1756 - Épinay-sur-Seine, le 6 octobre 1825).
- Une rue très ancienne ouverte vers 1185 dans le clos Bruneau, nommée au 13ème siècle rue du Clos-Bruneau, puis rue du Mont-Saint-Hilaire, rue du Puits-Certain (du nom du puits percé en 1572 par un dénommé Robert Certain et redécouvert suite à des travaux d'égouts en 1894), rue Saint-Hilaire, et rue Fromentel. Ce dernier nom est une altération du nom froid mantel en raison d'un cartulaire datant de 1243 qui la mentionne sous l'appellation vicus qui dicitur Frigidum Mantellum probablement en raison de la proximité de l'ancien frigidarium des thermes de l'Est. Elle prend son nom actuel le 25 octobre 1880, honorant Pierre Antoine Victor de Lanneau (Bard-lès-Époisses, le 25 décembre 1758 - 1830) qui fut le refondateur du Collège Sainte-Barbe voisin.
- Rue ouverte en 1850 dans le quartier des Ecoles. Un décret du 2 mars 1864 décida d'honorer le pharmacien et chimiste Louis-Nicolas Vauquelin (Saint-André-d'Hébertot, le 16 mai 1763 - Saint-André-d'Hébertot, le 14 novembre 1829)
- L'ancienne rue Saint-Dominique-d'Enfer, ouverte en 1546, reçut par une ordonnance du 18 juin 1846 le nom de l'homme politique et philosophe Pierre-Paul Royer-Collard (Sompuis, le 21 juin 1763 - Châteauvieux, le 4 septembre 1845), en raison du voisinage d'établissements d'instruction publique. L'impasse Royer-Collard porte également son nom.
- Cette place, décidée par un décret de Napoléon Bonaparte du 14 février 1806, fut ouverte la même année et porte le nom du général de division Jean-Marie Valhubert (Avranches, le 22 octobre 1764 - Brünn, le 3 décembre 1805), qui fut tué trois mois auparavant lors de la bataille d'Austerlitz. La place donne directement sur le pont d'Austerlitz.
- Dans ce quartier où ont été groupés des noms de savants, une délibération municipale du 31 décembre 1918 donna à cette rue le nom du chirurgien militaire, le baron Dominique-Jean Larrey (Beaudéan, le 7 juillet 1766 - Lyon, le 25 juillet 1842), membre de l'Institut d'Egypte.
- La rue prit de nombreux noms au cours de son histoire, s'appelant en 1552 rue derrière les murs de Saint-Victor en raison de sa proximité avec l'abbaye Saint-Victor, puis rue du Ponceau à l'époque où la Bièvre coulait le long de la rue, puis rue de Seine, avant d'être renommée en l'honneur du biologiste et palèontologue Georges Cuvier (Montbéliard, le 23 août 1769 - Paris, le 13 mai 1832) par décret royal le 8 novembre 1838, ceci en raison de la proximité du Muséum d'histoire naturelle.
- En raison du voisinage du Jardin des Plantes , un arrêté du 2 avril 1868 donna à cette rue le nom du naturaliste Etienne Geoffroy-Saint-Hilaire (Étampes, le 15 avril 1772 - Paris, le 19 juin 1844). "Indiquée en 1530 à l'état de chemin sur le plan de Braun, son premier nom en 1603 fut rue Corpeaux ou rue Coipeaux, parce qu'elle conduisait à la butte des Copeaux, dont on a fait Copeaux. Au milieu du XVIIe siècle, vers 1760, elle prit le nom de rue du Jardin-du-Roy, à cause du voisinage de ce jardin. Pendant la Révolution et le premier Empire, elle conserva le nom de rue du Jardin-des-Plantes. En 1848 on lui avait donné celui de Geoffroy Saint-Hilaire. En 1714, ce fut le faubourg Saint-Victor. Entre le boulevard Saint-Marcel et la rue Poliveau, on en fit quelque temps la rue du Marché-aux-Chevaux." Nouveau Dictionnaire Historique de Paris, Gustave Pessard, 1904
- Commence 45 rue de la Clef Finit 75 rue Monge Rue ouverte en 1879 par la Ville de Paris. Dans ce quartier où ont été groupés des noms de savants, un arrêté du 4 mars 1881 lui donna le nom de l'ingénieur et physicien Etienne Louis Malus (Paris, le 23 juillet 1775 - Paris, le 23 février 1812), qui participa à la campagne d'Égypte de Napoléon.
- Précédemment la rue faisait partie de la rue Restaut, antérieurement la rue Neuve-des-Poirées. En raison du voisinage de la Faculté de droit, un décret du 24 août 1864 lui donna le nom du jurisconsulte Charles Bonaventure Marie Toullier (Dol-de-Bretagne, le 21 janvier 1752 - Rennes, le 19 septembre 1835).
- 1776-1800
- Cette rue faisait précédemment partie de la rue de l'Abbé-de-l'Epée. En raison du voisinage du Jardin des Plantes, un décret du 10 novembre 1877 lui donna le nom du botaniste Charles-François Brisseau de Mirbel (Paris, le 27 mars 1776 - Champerret, le 12 septembre 1854).
- Rue ouverte par un décret du 11 août 1855 qui, par un décret du 28 août 1858, prend le nom de Louis Jacques Thénard (La Louptière, le 4 mai 1777 - Paris, le 21 juin 1857), un chimiste et professeur au Collège de France sur lequel la rue débouche.
- Précédemment rue de la Contrescarpe-Saint-Marcel et antérieurement rue de la Contrescarpe-Sainte-Geneviève. Elle existait en 1650 et faisait partie du chemin extérieur au rempart. Un plan de Bullet et Blondel (1710) lui donne le nom de rue des Petits-Pères. Depuis un décret du 2 octobre 1865, en raison du voisinage du Jardin des Plantes, elle porte le nom du zoologiste et anatomiste Henri-Marie Ducrotay de Blainville (Arques-la-Bataille, le 12 septembre 1777 - Paris, le 1er mai 1850).
- Rue ouverte en même temps que la rue Monge en 1859. En raison de la proximité du Jardin des Plantes de Paris, un décret du 11 septembre 1869 lui donne le nom du botaniste suisse Augustin Pyrame de Candolle (Genève, le 4 février 1778 - Genève, le 9 septembre 1841).
- Un décret du 2 mars 1864 donna à cette rue, située dans le quartier des Ecoles, le nom du chimiste Louis Joseph Gay-Lussac (Saint-Léonard-de-Noblat, le 6 décembre 1778 - Paris, le 9 mai 1850). Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise, division 26.
- Un décret du 10 février 1875 officialisa le nom de la rue pour honorer l'avocat et philanthrope Jean-Denis Cochin (1789-1841), maire du 5ème arrondissement et député de Paris. "Cette voie a été formée en 1774, en même temps que la Halle aux Veaux, aujourd'hui supprimée, et s'est appelée place aux Veaux. En 1840, elle reçut le nom de Cochin. Jean-Denis-Alaric Cochin, parent de l'abbé Cochin, fondateur de l'hôpital du même nom, naquit le 14 juillet 1789. Philanthrope, administrateur des hospices, maire du 5e arr., et député de Paris, il s'occupa beaucoup des questions d'assistance, et fut le créateur de la première salle d'asile de Paris. C'est également à lui que l'on est redevable de la canalitsation de la Bièvre. Cochin mourut le 18 avril 1841, en regrettant "que sa vie n'ait pas été assez longue pour réaliser tout le bien qu'il avait dans le coeur". Comme la rue de Poissy et la rue de Pontoise, la rue Cochin occupe l'emplacement de l'ancien jardin du couvent des Bernardins." Nouveau Dictionnaire Historique de Paris, Gustave Pessard, 1904
- La rue porte depuis un décret du 27 février 1867 le nom de l'archéologue et collectionneur d’œuvres d’art Alexandre Du Sommerard (Bar-sur-Aube, le 31 août 1779 - Saint-Cloud, le 19 août 1842), fondateur du musée de Cluny qui se trouve dans le voisinage.
- Cette rue très ancienne, qui existait déjà en 1254, fut successivement dénommée vicus Coementariorium, vicus Lathomorum, rue Le Masson, rue aux Etuves et rue des Maçons Sorbonne. Un décret du 27 février 1867 lui donna le nom de Jean-François Champollion (Figeac, le 23 décembre 1790 - Paris, le 4 mars 1832), déchiffreur des hiéroglyphes et considéré comme le père de l'égyptologie. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise (division 18).
- La rue de Cluny ou passage Cluny, existait déjà au 12ème siècle. Guillot, en 1300, la nomme rue à l'Abbé de Cligny. En raison du voisinage de la Sorbonne, un décret du 24 août 1864 la rebaptisa pour honorer le philosophe et professeur de lettres à la Faculté, Victor Cousin (Paris, le 28 novembre 1792 - Cannes, le 14 janvier 1867). Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise, division 4.
- Cette rue ouverte en 1876 par la Ville de Paris, reçut par un arrêté du 1er février 1877 le nom de l'avocat Alphonse Gabriel Victor Paillet (Soissons, le 17 novembre 1796 - Paris, le 16 novembre 1855). La Faculté de Droit se trouve dans le voisinage, d'où ce choix. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise, division 27.
- Cette rue faisait précédemment partie de la rue de l'Abbé-de-l'Epée. En raison du voisinage du Jardin des Plantes, un décret du 10 novembre 1877 lui donna le nom du botaniste Charles-François Brisseau de Mirbel (Paris, le 27 mars 1776 - Champerret, le 12 septembre 1854).
Rues du Huitième Arrondissement, en excluant ce qui vient après P, ceux qui sont nés après 1800 ou ce qui n'est pas une personne avec les dates de vie
1) Rues du Huitième Arrondissement, en excluant ce qui vient après P, ceux qui sont nés après 1800 ou ce qui n'est pas une personne avec les dates de vie · 2) Rues du Cinquième, même règle, sauf que je ne m'arrête pas avant la fin de l'alphabet · 3) Et la fin de cette histoire de noms de rues
- Source:
Paris, Rues du 8e
http://www.parisrues.com/rues08/08-toutes-les-rues.html
- 901-950 Un arrêté du 7 février 1935 donna à vette voie, qui traverse tout le parc Monceau de nord en sud, le nom de Ferdousi, ou Ferdowsi, nom sous lequel est connu le poète persan Abol Ghassem Mansour (933-1020).
- 1451-1500
- Ouverte par l'Assistance publique sur l'emplacement de l'ancienne institution de Sainte-Périne. Un décret du 2 mars 1867 lui donna le nom du célèbre navigateur italien Christoph Colomb (Gênes, en 1451 - Valladolid, le 20 mai 1506).
- On supprima le passage Gautrin pour construire cette rue qui reçut par un arrêté du 30 avril 1883 le nom de Louis II de la Trémoille, vicomte de Thouars, prince de Talmont (Bommiers, le 20 ou le 29 septembre 1460 - Pavie, le 24 février 1525), gouverneur et lieutenant-général de Bourgogne, chef militaire qui remporta de nombreuses victoires durant les Guerres d'Italie et mourut à la bataille de Pavie.
- Ouverte en 1881, un arrêté du 24 juin 1907 donna à cette rue le nom de l'architecte italien Domenico da Cortona dit Boccador (en Italie, vers 1465 - Paris, probablement en 1549), considéré comme le concepteur des plans du premier hôtel de ville de Paris (1533).
- Rue ouverte par une ordonnance du 23 juillet 1823. En raison du voisinage de la place François-Ier, elle honore Pierre du Terrail, seigneur de Bayard, plus connu sous le nom de Bayard ou du chevalier Bayard (château de Bayard à Pontcharra, 1476 - Romagnano Sesia, le 30 avril 1524).
- Cette rue fut ouverte par l'Administration de l'Assistance publique sur des terrains dépendant de l'ancienne institution de Sainte-Périne, Dans ce quartier où ont été groupés des noms de voyageurs, elle reçut par un décret du 2 mars 1867 le nom du navigateur portugais Fernand de Magellan (vers 1480 - île de Mactan (Philippines), le 27 avril 1521).
- Rue ouverte par une Ordonnance du 23 juillet 1823. La place, ainsi que la rue François-Ier, doivent leur nom au fait qu'en 1823 on transporta la maison dite "de François Ier", Roi de France (Cognac, le 12 septembre 1494 - Rambouillet, le 31 mars 1547), au coin du cours la Reine et de la rue Bayard.
- Cette rue ouverte en 1881 reçut par un arrêté du 30 avril 1883 le nom du poète Clément Marot (Cahors, 1496 - Turin, 1544).
- Ouverte par l'Assistance publique sur l'emplacement de l'ancienne institution de Sainte-Périne. Un décret du 2 mars 1867 lui donna le nom du célèbre navigateur italien Christoph Colomb (Gênes, en 1451 - Valladolid, le 20 mai 1506).
- 1501-1550
- Rue ouverte en différents tronçons à partir de 1777, un arrêté du 16 août 1879 lui donne le nom de l'écrivain et poète Étienne de La Boétie (Sarlat, le 1er novembre 1530 - Germignan, le 18 août 1563), ami de Montaigne. La rue Montaigne (aujourdhui la rue Jean-Mermoz se trouvait à proximité, d'où ce choix.
- L'ancienne allée des Veuves, indiquée sur le plan de Jouvin de Rochefort (1672), reçut par un décret du 13 juillet 1850 le nom de l'écrivain, philosophe, moraliste et homme politique français Michel de Montaigne (Saint-Michel-de-Montaigne, le 28 février 1533 - Saint-Michel-de-Montaigne, le 13 septembre 1592).
- En raison du voisinage de l'avenue Montaigne, un décret du 25 janvier 1879 donna cette rue le nom du théologien, philosophe, orateur et moraliste Pierre Charron (Paris, en 1541 - Paris, le 16 novembre 1603).
- Rue ouverte en différents tronçons à partir de 1777, un arrêté du 16 août 1879 lui donne le nom de l'écrivain et poète Étienne de La Boétie (Sarlat, le 1er novembre 1530 - Germignan, le 18 août 1563), ami de Montaigne. La rue Montaigne (aujourdhui la rue Jean-Mermoz se trouvait à proximité, d'où ce choix.
- 1551-1600
- Rue en partie ouverte en 1649 et précédemment appelée rue d'Anjou-Saint-Honoré, elle a aussi porté le nom de rue des Morfondus. Depuis un arrêté du 9 mai 1881 elle honore le roi de France Henri III (Fontainebleau, le 19 septembre 1551 - Saint-Cloud, le 2 août 1589), qui porta le titre de duc d'Anjou.
- Numéros 1-53 et 2-50 : 16ème arrondissement Numéros 55-fin et 52-fin : 8ème arrondissement Dans ce quartier où ont été groupés des noms d'astronomes, cette rue porte le nom du célèbre mathématicien, géomètre, physicien et astronome italien, Galilée (en italien Galileo Galilei) (Pise, le 15 février 1564 - Arcetri, le 8 janvier 1642).
- Rue en partie ouverte en 1649 et précédemment appelée rue d'Anjou-Saint-Honoré, elle a aussi porté le nom de rue des Morfondus. Depuis un arrêté du 9 mai 1881 elle honore le roi de France Henri III (Fontainebleau, le 19 septembre 1551 - Saint-Cloud, le 2 août 1589), qui porta le titre de duc d'Anjou.
- 1601-1650
- Un décret du 10 août 1868 donna à cette rue, comme plusieurs autres rues autour du parc Monceau, le nom d'un peintre, ici le peintre espagnol Bartolomé Esteban Murillo (Séville, baptisé le 1er janvier 1617 – Séville, le 3 avril 1682).
- L'avenue prit ce nom en 1837 car elle prolongeait l'ancienne rue Matignon. Sa dénomination rend hommage à Charles Auguste de Goyon de Matignon, comte de Gacé (Torigni-sur-Vire, le 28 mai 1647 - Paris, le 6 décembre 1729), maréchal de France.
- Un décret du 10 août 1868 donna à cette rue, comme plusieurs autres rues autour du parc Monceau, le nom d'un peintre, ici le peintre espagnol Bartolomé Esteban Murillo (Séville, baptisé le 1er janvier 1617 – Séville, le 3 avril 1682).
- 1651-1700
- Cette rue, ouverte en 1873 pour isoler le lycée Chaptal qu'elle longe, est nommée en l'honneur du mathématicien et physicien suisse Jean Bernoulli (Bâle, 27 juillet 1667 - Bâle, 1er janvier 1748). Il vint à Paris en 1690, et se lia avec les savants les plus distingués, particulièrement avec de L'Hôpital.
- Ouverte en 1880, cette rue reçut en 1884 le nom du tzar et empereur Pierre Ier de Russie, plus connu sous le nom de Pierre le Grand (Moscou, le 9 juin 1672 - Saint-Pétersbourg, le 8 février 1725), en raison de la proximité de la cathédrale orthodoxe Saint-Alexandre-Nevski qui se trouve dans l'axe de la rue.
- Rue ouverte en 1723. Elle porte le nom de Joseph-Antoine d'Aguesseau (1679-1744), conseiller honoraire au Parlement, créateur d'un marché dans le quartier, propriétaire des terrains.
- Voie formée en 1670, entre l'avenue Matignon et l'avenue de Marigny, et en 1767, entre l'avenue de Marigny et la place de la Concorde. En 1772, elle prit le nom d’avenue de l'Élysée. C'est le Premier architecte du Roi, Ange-Jacques Gabriel (Paris, le 23 octobre 1698 - Paris, le 4 janvier 1782), qui dessina les plans de la place Louis-XV, aujourd'hui place de la Concorde. Il existe une villa Gabriel dans le 15ème arrondissement.
- Cette rue, ouverte en 1873 pour isoler le lycée Chaptal qu'elle longe, est nommée en l'honneur du mathématicien et physicien suisse Jean Bernoulli (Bâle, 27 juillet 1667 - Bâle, 1er janvier 1748). Il vint à Paris en 1690, et se lia avec les savants les plus distingués, particulièrement avec de L'Hôpital.
- 1701-1750
- Rue ouverte par l'Assistance publique sur l'emplacement de l'ancienne institution de Sainte-Périne. Dans ce quartier où ont été groupés des noms d'astronomes, un décret du 2 mars 1867 lui donna le nom du mathématicien et physicien suisse Léonard Euler (Bâle, le 15 avril 1707 - Saint-Pétersbourg, le 18 septembre 1783).
- La rue fut créée en 1776 sur des terrains qui appartenaient à Louis d'Astorg d'Aubarède, marquis de Roquépine (1714-1782).
- Cette rue porte le nom du financier Nicolas Beaujon (Bordeaux, 1718 - 1786), fondateur d'un hôpital portant son nom, l'ancien hôpital Beaujon. Le square Beaujon porte également son nom.
- La place doit son nom au voisinage de l'Hôtel du maréchal-prince Charles Juste de Beauvau-Craon (Lunéville, le 10 septembre 1720 - Saint-Germain-en-Laye, le 21 mai 1793) devenu ministère de l'intérieur depuis 1861.
- n° 1-121 et 2-92 : 8ème arrondissement n° 123-fin, 94-fin : 17ème arrondissement En raison du voisinage de la chapelle expiatoire, une ordonnance du 2 juin 1824 donna a cette voie le nom de l'homme politique, Chrétien Guillaume de Lamoignon de Malesherbes (Paris, le 6 décembre 1721 - Paris, le 22 avril 1794 (guillotiné), magistrat, ministre sous Louis XV et Louis XVI et l'un des défenseurs de ce dernier.
- La rue fut ouverte en 1776 et d'abord appelée rue Guyot, du nom de Michel Guyot, un échevin de Paris. Un arrêté du 1er mai 1880 lui donna le nom du magistrat Armand Thomas Hue de Miromesnil (Mardié, le 15 septembre 1723 - Tourville-sur-Arques, le 6 juillet 1796) qui était garde des Sceaux lorsque la rue fut percée.
- D'abord rue de Marigny puis avenue de Marigny, créée vers 1767 par Abel-François Poisson de Vandières, marquis de Marigny (Paris, le 18 février 1727 - Paris, le 11 mai 1781), directeur général des Bâtiments du Roi, Arts, Jardins et Manufactures, en l'honneur de qui elle est nommée. Elle longe le Palais de l'Élysée, qui avait été la résidence parisienne de sa sœur, Madame de Pompadour.
- Rue ouverte par la Ville de Paris en 1854. Dan ce quartier où ont été groupés des noms de juristes, un décret du 2 mars 1867 lui donne la nom du jurisconsulte et homme politique Jacques de Maleville (Domme, le 19 juin 1741 - Domme, le 22 novembre 1824), un des rédacteurs du Code civil.
- Rue ouverte par une ordonnance du 22 janvier 1840 sur les terrains de M. Léon de Chazelles. Une décision royale du 29 avril de la même année donna le nom du chimiste et philosophe Antoine Laurent de Lavoisier (Paris, le 26 août 1743 - guillotiné à Paris, place de la Concorde, le 8 mai 1794). On le considère comme le père de la chimie moderne.
- La Ville de Paris a débaptisé cette voie pour honorer la mémoire de Joseph Bologne de Saint-George, plus connu sous le nom de Chevalier de Saint-George (Baillif (Guadeloupe), le 25 décembre 1745 - Paris, le 12 juin 1799), escrimeur et compositeur, et le premier mulâtre admis chez les francs-maçons.
- En raison du voisinage du boulevard Malesherbes, cette rue, ouverte en 1859, reçut par un arrêté du 26 février 1867 le nom du jurisconsulte et homme politique Jean-Etienne-Marie Portalis (Beausset, le 1er avril 1746 - Paris, le 25 août 1807), un des rédacteurs du Code civil.
- Rue ouverte par l'Assistance publique sur l'emplacement de l'ancienne institution de Sainte-Périne. Dans ce quartier où ont été groupés des noms d'astronomes, un décret du 2 mars 1867 lui donna le nom du mathématicien et physicien suisse Léonard Euler (Bâle, le 15 avril 1707 - Saint-Pétersbourg, le 18 septembre 1783).
- 1751-1775
- Cette rue faisait autrefois partie de la rue de la Ville-l'Evêque. Un décret du 2 octobre 1865 lui donna le nom du juriste et homme politique Jean-Jacques-Régis de Cambacérès (Montpellier, le 18 octobre 1753 - Paris, le 8 mars 1824). Il participa à la rédaction du Code civil.
- Louis XVIII fit élever la Chapelle Expiatoire à la mémoire du roi Louis XVI (Versailles, le 23 août 1754 - guillotiné place de la Révolution (place de la Concorde) à Paris, le 21 janvier 1793), et de Marie-Antoinette, à l'endroit où leurs corps ont été enterrés après leur exécution. Ce monument fut inauguré en 1826.
- En raison du voisinage de la Chapelle expiatoire, une ordonnance du 2 juin 1824 donna à cette rue le nom de l'avocat Claude François Chauveau-Lagarde (Chartres, le 21 janvier 1756 - Paris, le 28 février 1841), un des défenseurs de la reine Marie-Antoinette.
- Rue ouverte en 1864 par la Ville de Paris. Dans ce quartier où ont été groupés des noms d'hommes d'Etat, un décret du 2 mars 1867 lui donna le nom du comte Louis-Emmanuel Corvetto (Gênes, le 11 juillet 1756 - Gênes, le 20 mai 1821) qui fut ministre des finances à l'époque de la Restauration.
- Cette rue est déjà indiquée sur un plan de 1652. Les différents tronçons eurent des noms divers : rue des Champs-Élysées, rue de la Bonne-Morue, rue de l'Abreuvoir-l'Évêque, rue de la Madeleine. Elle a pris sa dénomination actuelle le 2 octobre 1865 en l'honneur de l’homme de lettres et homme politique français François-Antoine de Boissy d'Anglas (Saint-Jean-Chambre, le 8 décembre 1756 - Paris, le 20 octobre 1826).
- L'ancien passage du Marché-d'Aguesseau reçut en 1837 le nom de l'avocat Pierre-Nicolas Berryer (Sainte-Ménéhould, le 22 mars 1757 - Paris, le 25 juin 1841).
- La rue fut créée en 1778 sous le nom de rue Neuve-de-Poitiers, puis devint la rue des Ecuries-d'Artois en 1823 et rue de la Réforme en 1848. Elle rçut sa dénomination actuelle par un arrêté du 10 juin 1897 parce qu'elle fut ouverte sur l'emplacement des écuries du dernier comte d'Artois, le futur Charles X de France (château de Versailles, le 9 octobre 1757 – Görz, le 6 novembre 1836).
- Dans ce quartier où ont été groupés des noms d'hommes d'Etat, cette rue ouverte en 1864 par la Ville de Paris reçut par un décret du 2 mars 1867 le nom de l'administrateur et homme politique, le comte Nicolas François Mollien (Rouen, le 28 février 1758 - Paris, le 20 avril 1850), ministre du Trésor public de Napoléon Ier et fondateur de la Cour des comptes.
- Cette rue, ouverte par la Ville de Paris pour l'isolement du collège Chaptal, reçut par un décret du 2 mars 1867 le nom du poète et auteur dramatique François Andrieux (Strasbourg, le 6 mai 1759 - Paris, le 10 mai 1833).
- Cette voie reçut par une ordonnance de police du 12 janvier 1848 le nom de l'orfèvre Jean-Baptiste Claude Odiot (Paris, le 8 juin 1763 - Paris, le 23 mai 1850), propriétaire des terrains sur lesquels il ouvrit cette cité en 1847.
- L'ancienne rue du Marché d'Aguesseau, ouverte en 1723 à l'emplacement primitif de ce marché, reçut par un décret du 27 février 1867 le nom de l'homme d'État et pair de France, Jean-Pierre Bachasson, comte de Montalivet (Sarreguemines, le 5 juillet 1766 - Saint-Bouize, le 22 janvier 1823).
- Numéros impairs : 16ème arrondissement Numéros pairs : 8ème arrondissement Voie ouverte de 1834 à 1860 et précédemment appelée avenue Joséphine en l'honneur de Joséphine de Beauharnais. Un arrêté du 16 août 1879 lui donna sa dénomination actuelle afin d'honorer le général français de la Révolution, François Séverin Marceau (Luisant, le 1er mars 1769 - Altenkirchen, le 21 septembre 1796). La villa Marceau, dans le 19ème arrondissement, a la même origine.
- Cette voie s'appela jadis (en 1730) ruelle des Jardins, en référence aux jardins de l'ancien village de Chaillot, puis rue du Château des Fleurs (1777), du nom d'un bal public très fréquenté, rival du jardin Mabille. Un décret du 2 mars 1867 lui donna le nom de l'homme politique et diplomate français, pair de France, membre de l'Académie française, Hugues-Bernard Maret, duc de Bassano (Dijon, le 22 juillet 1763 - Paris, le 13 mai 1839). Il est mort à son domicile 60, rue Saint Lazare (9e arrondissement) et est inhumé au cimetière du Père-Lachaise, division 31.
- Cette rue, créée en 1810 pour former l'entrée de l'abattoir du Roule, reçut par une ordonnance du 5 août 1844 le nom de l'architecte Charles Percier (Paris, le 22 août 1764 - Paris, le 5 septembre 1838).
- La rue fut ouverte vers 1790 comme la rue de la Croix. En 1796, on la nomma rue de Milan en souvenir de la prise de Milan par Bonaparte, le 14 mai de cette même année, puis, en 1815, elle devint la rue de la Croix-du-Roule. Un décret du 27 février 1867 lui donna le nom de l'homme d'Etat et historien, le comte Pierre-Antoine Daru (Montpellier, le 12 janvier 1767 - Meulan, le 5 septembre 1829).
- Un décret du 2 octobre 1865 donna à cette rue le nom du duc Etienne-Denis Pasquier (Paris, le 21 avril 1767 - Paris, le 5 juillet 1862), préfet de police sous l'Empire, plusieurs fois ministre et dernier chancelier de France.
- ... La rue a été dénommée en l'honneur du célèbre écrivain et diplomate François-René de Chateaubriand (Saint-Malo, le 4 septembre 1768 - Paris, le 4 juillet 1848), alors très populaire par son opposition résolue au ministère Villèle et son soutien à l'indépendance grecque.
- Numéros 1-21 et 2-26 : 1er arrondissement Numéros 23-fin et 28-fin : 8ème arrondissement Rue projetée dès l'an IV et ouverte sur l'emplacement du couvent de la Conception. On lui donna le nom du général Léonard Duphot (Lyon, le 21 septembre 1769 - Rome (assassiné), le 28 décembre 1797).
- Jusqu'en décembre 2001 cette rue s'appelait la rue Richepance, du nom du général Antoine Richepanse (1770-1802) qui rétablit l'esclavage à la Guadeloupe sur l'ordre du Premier consul. ...
- La place s'appela d'abord place des Grésillons, en référence à l'ancienne voirie des Grésillons, puis, à partir de 1837, place de Laborde, en l'honneur d'Alexandre de Laborde (1773-1842), préfet de la Seine. Un arrêté du 8 juin 1946 lui donna le nom du philosophe Henri Bergson (Paris, le 18 octobre 1859 - Paris, le 4 janvier 1941), membre de l'Académie française à partir de 1918 et prix Nobel de littérature en 1927. Il est mort au n° 47 du boulevard de Beauséjour, dans le 16ème arrondissement, où il a sa plaque. [Ce n'est évidemment pas Bergson, dont nous cherchons les dates - il est post-industriel.]
- L'ancienne rue des Grésillons puis rue Delaborde reçut par un décret ministériel du 10 janvier 1837 le nom de l'archéologue, écrivain et (très brièvement) préfet de la Seine, Alexandre Louis Joseph de Laborde (Paris, le 17 septembre 1774 - Paris, le 20 octobre 1842).
- Un arrêté du 16 août 1879 donna à cette rue le nom du général de division et orateur Maximilien Sébastien Foy (Ham, le 3 février 1775 - Paris, le 28 novembre 1825), aide de camp de Bonaparte. Il est mort au n° 62 de la rue de la Chaussée-d'Antin, dans le 9ème arrondissement, où il a sa plaque, et il est enterré au cimetière du Père-lachaise, division 28.
- Cette rue faisait autrefois partie de la rue de la Ville-l'Evêque. Un décret du 2 octobre 1865 lui donna le nom du juriste et homme politique Jean-Jacques-Régis de Cambacérès (Montpellier, le 18 octobre 1753 - Paris, le 8 mars 1824). Il participa à la rédaction du Code civil.
- 1776-1800
- La rue fut ouverte comme voie privée sous le nom d’avenue de Chateaubriand en 1825 sur les terrains des anciens jardins Beaujon par la Société du quartier de la Chartreuse Beaujon, formée entre trois spéculateurs : Fortunée Hamelin (1776-1851), l'une des plus fameuses Merveilleuses sous le Directoire, et MM. Cottin et Rougevin. Elle devint rue de Chateaubriand par un décret du 23 octobre 1852. ...
- Le nom de la rue rend hommage à Charles-Ferdinand d’Artois, duc de Berry (Versailles, le 24 janvier 1778 — Paris, le 14 février 1820), fils de Charles X.
- Rue ouverte en 1842 sous le nom de rue du Centre parce qu'elle avait été percée au centre des terrains de l'ex-Folie Beaujon. Elle prit sa dénomination actuelle en 1881 en l'honneur de l'écrivain, prêtre et philosophe français Félicité Robert de Lamennais (Saint-Malo, le 19 juin 1782 - Paris, le 27 février 1854). Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise, division 53.
- Cette rue ouverte en 1825 porte depuis un décret du 23 octobre 1852 le nom du poète anglais George Gordon Byron, généralement appelé Lord Byron (Londres, le 22 janvier 1788 - Missolonghi, le 19 avril 1824), qui aurait habité cette rue.
- La rue fut ouverte, par une ordonnance du 24 mars 1825, par le comte de Castellane et M. Gouin sur l'emplacement du grand hôtel de Soyecourt. Le comte Boniface de Castellane (Paris, le 21 mars 1788 - Lyon, le 16 septembre 1862) fut colonel des hussards, maréchal de France et pair de France.
- Rue ouverte en 1842 quand elle faisait partie de la rue des Ecuries-d'Artois. En 1848, elle a porté le nom de rue de la Réforme. Un décret du 10 novembre 1877 lui donna le nom de l'avocat et homme politique Pierre-Antoine Berryer (Paris, le 4 janvier 1790 - Augerville-la-Rivière, le 29 novembre 1868).
- Numéros impairs : 8ème arrondissement Numéros pairs : 17ème arrondissement Cette place faisait précédemment partie du boulevard des Batignolles et du boulevard de Courcelles . Un arrêté du 6 novembre 1905 lui donna le nom de l'auteur dramatique Prosper-Parfait Goubaux (Paris, le 10 juin 1795 - Paris, le 31 juillet 1859), fondateur du collège Chaptal qui se trouvait dans le voisinage.
- Précédemment rue Fournial et rue de Vigny, la voie porte depuis un décret du 2 mars 1867 le nom de l'écrivain, romancier, dramaturge et poète Alfred Victor, comte de Vigny (Loches, le 27 mars 1797 - Paris, le 17 septembre 1863).
- Rue ouverte en 1867. En raison du voisinage de la gare Saint-Lazare, un décret du 2 mars de cette même année lui donna le nom de l'ingénieur et physicien français Émile Clapeyron (Paris, le 26 février 1799 - Paris, le 28 janvier 1864). Il fait partie de la liste des soixante-douze noms de savants inscrits sur la tour Eiffel.
- Cette rue fut ouverte en 1825 entre l' avenue des Champs Elysées et la rue Chateaubriand, et prolongée en 1842 jusqu'à la rue du Faubourg Saint-Honoré. Cette voie fut dénommée rue Balzac en 1850, après la mort du célèbre écrivain Honoré de Balzac (Tours, le 20 mai 1799 (1er prairial an VII) - Paris, le 18 août 1850) qui vécut dans la rue. Précédemment, elle a porté les noms d'avenue Fortunée, entre l'avenue des Champs Elysées et la rue Chateaubriand (plan de Jacoubet), et de rue Fortuné entre la rue Chateaubriand et la rue du Faubourg Saint-Honoré (comme indiqué dans le Moniteur du 28 juin 1851). La partie qui était comprise entre l' avenue de Friedland et la rue Beaujon a été incorporée dans la place Georges Guillaumin. Honoré de Balzac est inhumé au cimetière du Père-Lachaise (division 48).
- Cette allée du parc Monceau porte depuis un arrêté municipal du 30 août 1978 le nom de la femme de lettres Sophie Rostopchine, comtesse de Ségur (Saint-Pétersbourg, le 1er août 1799 - Paris, le 9 février 1874). Précédemment, elle s'appelait allée Velasquez (elle donne dans l'avenue Velasquez).
- La rue fut ouverte comme voie privée sous le nom d’avenue de Chateaubriand en 1825 sur les terrains des anciens jardins Beaujon par la Société du quartier de la Chartreuse Beaujon, formée entre trois spéculateurs : Fortunée Hamelin (1776-1851), l'une des plus fameuses Merveilleuses sous le Directoire, et MM. Cottin et Rougevin. Elle devint rue de Chateaubriand par un décret du 23 octobre 1852. ...
- Le décomptage, période après période, se fera ensemble avec le Cinquième, pour y trouver davantage du Moyen Âge.
Hesses vs Holding
1) When Looking at Elena Maria Vidal's Book on Daughter of Cesars ... · 2) Answering J. P. Holding / tektontv on Quiverfull, Lifespans, Onan, up-dated : and Romans · 3) Trying to Get Through to Holding · 4) Hesses vs Holding
Here the Hesses, by Holding are told
How (not) to think of Heavenly art
tektonticker : The Quiverfull Movement, Part 2
http://tektonticker.blogspot.com/2016/05/the-quiverfull-movement-part-2.html
Holding attacks the Hesses for this paragraph:
Even more outlandishly, the Hesses put God directly in charge of genetics, asking, "does God decide eye color or does Mendel's Law?" [183] and, quoting a source as saying: "God individually chose and gave each child his or her blue eyes. We have to keep in mind that God can modify or abolish genetic or reproductive trends as He wills." [184]
From this little rhetoric question, one might presume Holding considers, unlike the Hesses, that God left genetics to Mendel's laws.
Left it to them to determine.
OK, there is one point in so far that Mendel's laws give the normal framework. But is that a framework which allows either chance (on atheistic views, or reduced to secindary causes) or God (an a Christian view) little or much freedom?
Let's get it straight about chromosomes. These were not directly described in Mendel's laws, but predicted by oberving, through them, the phenomenon of tied (as opposed to independent) characteristics. Also, they differ between kinds and even species in number. There are mice with 22 chromosomes and there are mice with 40 (I presume we mean 2n=22, 2n=40, so it would mean 11 or 20 pairs), one can refer to them as different species or as different chromosomal races. I have very little doubt those with fewer chromosome pairs have "evolved" if you like from the larger number by telomere fusion.
The opposite process is harder to get around.
Man, however, has 23 pairs, ALL "races". 22 pairs which are what they are independently of one's sex, and a 23:rd pair which is either XX for ladies or XY for gentlemen. The non-sex paris are numbered according to size of chromosome. 1 is biggest, 22 smallest. Trisomy 21, you hav Downs' syndrome. Trisomy 1, you usually die before birth.
Now, we were talking about how much this leaves of regular natural results and how much it leaves to either chance or God.
You begin when a sperm (Latin for seed - also used of unground whole cereal seeds in original language) from your father meets an ovulum (Latin for "little egg", and some languages say "egg cell" instead, like Swedish "äggcell") from your mother.
The sperm contained 23 of your 2n=46 chromosomes, the ovulum the other 23 of yourself.
For each sperm, it was a hazard which of your father's chromosome 1 you should get, and independent hazard which of his chromosome 2 you should get and so on in that particular sperm. And exact same for the ovulum selecting 23 from your mother's 2n=46 chromosomes.
What does this mean mathematically?
Chromos. | possibilities by nth chromosome | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
1 | 2 | 7 | 128 | 13 | 8192 | 19 | 524,288 |
2 | 2*2=4 | 8 | 256 | 14 | 16,384 | 20 | 1,048,576 |
3 | 4*2=8 | 9 | 512 | 15 | 32,768 | 21 | 2,097,152 |
4 | 8*2=16 | 10 | 1024 | 16 | 65,536 | 22 | 4,194,304 |
5 | 16*2=32 | 11 | 2048 | 17 | 131,072 | sex | 8,388,608 |
6 | 32*2=64 | 12 | 4096 | 18 | 262,144 |
The sperm that became the sperm which meeting an ovulum became you is genetically one out of 8,388,608 millions different sperms your father could have produced (OK, in any case where he had two identical versions of a pair, this figure needs to be halved). From your mother, the ovulum which received the sperm to become you was one in 8,388,608 genetically different ovula which she could have produced.
8 million 388 thousand 608 times same number of possibilities from other source is 70 trillion 368 billion 744 million 177 thousand 664.
So, if your parents had had 70 trillion plus babies, one of them would statistically have been you.
Usually it is very rare to have even as many as 20.
Say your parents had 20 babies, the chances of one of them being you was:
2.8421709430404007434844970703125 e-13
- e=1
- 2.842,170,943,040,400,743,484,497,070,312,5
- e-3
- 0.002,842,170,943,040,400,743,484,497,070,312,5
- e-6
- 0.000,002,842,170,943,040,400,743,484,497,070,312,5
- e-12
- 0.000,000,000,002,842,170,943,040,400,743,484,497,070,312,5
- e-13
- 0.000,000,000,000,284,217,094,304,040,074,348,449,707,031,25
So, within the framwork of your parents' genetics, the main factor determining your exact genetic makeup is God's providence.
"Mendel's laws" are a framework more often than not veried in God's result.
But God could make a sheer miracle, like when cloning Eve from Adam without his Y and with an extra or doubled X, and when He cloned Christ from Mary, except one X (let's assume Hers were identical) exchanged for a Y.
God could also make you the first carrier of a mutation. Its presence in you is not determined by Mendel's laws, since it does not follow from previous.
God could make you trisomic. Trisomy 1 is lethal, so is trisomy 3, trisomy 21 is Down's. Some trisomies affect neither life nor intelligence, like a trisomy in sex chromosomes, might make you the last of your line. XXY is a man less likely to be fertile than normal XY. XXX is a woman less likely to be fertile than a normal XX.
God is also in charge of the exact number of both identical and non-identical ancestors you get in each generation before your own, within or sometimes between generations.
If you have blue eyes, God made sure the first person with blue eye gene would be one of your ancestors, would be it on both your father's and your mother's side and would have passed on that gene to both of them.
So, yes. God is in fact in charge of your genetics.
When the Hesses advise readers that, "we would do well to give God control over how many children we have," [57] they do not simply mean we should allow God to be sovereign; rather, they envision God as having direct, micro-managerial command of conception ("lock, stock, and baby" as they put it [94], and elsewhere, "pregnancy is not going to occur except through God's active agency" [106], and yet again, "...the Scriptures prove that God Himself is our birth Controller" [141], and finally, "God Himself is all the birth control we need" [158]…and let us add, as a related point, this quote: "Menopause occurs at exactly the time in a woman's life when God decrees that she is to bear no more children." [189] I have not seen even a Calvinist assign God that much micro-managerial control!).
Well, I am not a Calvinist, and I very much do believe God does micromanage it.
I believe in free will, and yet that our lives are micromanaged.
God being outside time, for Him there is no problem to take into account each and every free willed decision through all history to micromanage all history. Some things, like sins, God simply allows. He allots that decision to sin, taken by that creature, to that specific moment in his life, but He did not chose for the creature to sin. Some things He directly produces.
And the lives of human persons is one of these.
Even if a person is conceived in a rape, God chose for that particular rape to result in pregnancy, whereas for another rape He chose there would not be that result.
So, yes, God is in direct charge of what happens for pregnancy or not once sex is freely (usually, fortunately, freely on both sides!) engaged in.
If Adam and Eve had not sinned, they would have been able to know perfectly at what moments their union would be fertile, and if wanting to use occasion, would not have used it in vain, Eve would have become pregnant every time.
But after their sin, it often happens that a coitus is a little too late for an ovulation or a little too early for the sperms to survive up to ovulation, or too few sperms to reach ovulum, after previous coitus. Every unsuccessful coitus is, so to speak, "beside nature", "praeter naturam". But making it unsuccessful by choice is to go against nature, "contra naturam".
If a Catholic couple abstains from coitus on the nights when the Church traditionally demands so, they are allowing God the freedom to chose how many occasions of abstinence shall mean failure to conceive, and how many coitus right after abstinence shall be on the right moment for increased chances. Overall, this would usually tend to child spacing. To having children less often than if using marriage each night. Which is good for the female body (also due to the curse after the first sin, being fertile whenever possible is a chore for the female body).
But, if one does not abstain certain nights for piety, at least one should allow God to do what He wants with the coitus where He offered the couple the pleasure. The couple should offer back to God the occasion for making a child.
Also, the human soul of each conceived (at least each conceived and fully human) fetus is directly a creature of God. And to each soul God allotted the genetics it should have.
Hesses are right, Holding is wrong.
Match is over, hear that ding-dong?
Hans Georg Lundahl
Nanterre UL
St Margaret of Scotland
10.VI.2016
Thursday, 9 June 2016
Trying to Get Through to Holding
1) When Looking at Elena Maria Vidal's Book on Daughter of Cesars ... · 2) Answering J. P. Holding / tektontv on Quiverfull, Lifespans, Onan, up-dated : and Romans · 3) Trying to Get Through to Holding · 4) Hesses vs Holding
He is a great Apologist, for instance for Resurrection:
Bad Arguments Against the Resurrection, Part 1
http://tektonticker.blogspot.fr/2011/03/bad-arguments-against-resurrection-part.html
My comment will tell you what I found delicious:
Oates: Lincoln "stood inside the doorway and shot a wild turkey as it approached."
Donald: Lincoln "spied a flock of wild turkeys outside the new log cabin. He seized a rifle and, taking advantage of one of the chinks (in the wall), 'shot through a crack, and killed one of them.' "
// Was there just one turkey, as Oates says, or a whole flock, per Donald? //
Oates said Lincoln shot one, not that it was the only one approaching. Donald confirms Lincoln shot one of them, no more.
// And was it shot from the doorway, or through a crack in the wall? //
Oates said Lincoln stood "inside the doorway" as opposed to outside it.
Donald says the flock was outside it, not that Lincoln was.
Donald said he shot the one through a chink in the wall, sorry "crack" in the wall. Not that Lincoln stood in it.
Oates doesn't say what exact way (except generally outward to the turkey he killed) Lincoln was pointing his gun, therefore does not contradict that.
// Donald's version at least cites a third-hand source, but this could be easily fabricated. Indeed, the fact that these two authors so directly contradict each other is clear evidence of fabrication. //
But they do not contradict.
Hope that word was a parody!
(I checked, it was!)
One can however add, this kind of asking oneself "do they really contradict or just mention different things" is the kind of thing you'll come across if you ask about the Gospel accounts.
Could only wish you had as lively a common sense when it came to the question of making babies "indiscretely" as you ateistically put it, as you have when it comes to rejecting equally atheistic attacks on Gospel veracity!
Your comment will be visible after approval. |
Here is one, however where he is somewhat shooting himself in the foot:
Bad Arguments Against the Resurrection, Part 2
http://tektonticker.blogspot.fr/2011/03/bad-arguments-against-resurrection-part_11.html
"Legends can form quickly and easily. “…and that means the Resurrection was one.” That’s the implied finish to this bad argument, which I suspect is left unfinished because to make it explicit would leave it open to the obvious rebuttal, “And how do you know it was one?”
If you accept the premise, the argument is not too bad.
For one thing, I do not use the word "legend" in that way.
But for another, if I accepted that premise, I could ask you "and how do you prove Resurrection was not?" in the vein of positive claims require positive evidence, and a quick report ceases to be such if even "legends" (lies or errors mistaken for fact about the past) arise very quickly. Especially if this error or mistaking of a lie for a fact needs no explanation.
Some "legends" in this sence arise very slowly, since "medium lifespan 35" for Bronze age and 40 for Middle Ages is a legend which came very late after the events.
On the other hand your legend about modern life spans arises very quickly. People living to 70 or 80 do occur.
In 80 deaths in Laon, the median was 79. That means the younger half had its oldest member and the older half its youngest member that age.
But the lower quartile was 64/65, 25% were 64 or younger, 75% 65 or older.
AND, the part that was 64 or younger goes down to a man who died age 31. The oldest person was not 79, that being median, nor 87/88, those being limits around lower 75%/upper 25%, but a lady of 99.
Now, my most general research (most of which leaves out infantile or child or even juvenile mortality, since someone dying before 20 usually neither becomes a royal ancestor - exceptions are there in women dying in childbirth - nor a midwife or artist or university official or cardinal or anything like that) would make historic life lengths about median where modern Laon had its lower quartile, and an upper quartile to max where Laon had its median.
The examples included in Elena Maria Vidal get another notch further down, because they do include child mortality (a boy dead at 6) or juvenile mortaility (a girl dead at 12).
But that is about it. Even in that context 35 is way too low for median, women having age 51 and men age 45 in the selection.
So, yes, legends can form quickly by ignoring part of the evidence, as you do if taking 70's/80's as the one and only normal age of dying now.
Anecdotic: gramp used next to no medicine before entering hospital. He died at 76. Gramma died at near 82 - but she had been on heart medication for decades.
That kind of longevity is of course licit, but hardly an answer to what happens if you have fewer children. Rather the contrary. If she had not limited herself to ma, she might have been supported socially and at times by cooking as well by more persons than ma and me, both getting somewhat tired of it.
So, yes, there is a modern legend about modernity which is misleading and which has formed quickly - but it is there through subtracting from available evidence, not by adding individual facts which were never there.
Btw, not counting on your publishing this comment here, where it is widely off topic (according to certain standards), just trying to get through about the kind of evidence you were overlooking elsewhere.
Your comment will be visible after approval. |
Let's see if he does publish the comments on the other posts ...
Hans Georg Lundahl
Nanterre UL
Sts Prime and Felician
9.VI.2016
PS, here is his comment here:
J. P Holding
June 9, 2016 at 10:13 AM
You're a walking advertisement for birth control, Hans. Go spam your insanity elsewhere.
Somewhat impious, don't you think? From Christ's Rersurrection one should get a respect for human life, including acts related to conceiving it!
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