Friday 10 June 2016

Rues du Huitième Arrondissement, en excluant ce qui vient après P, ceux qui sont nés après 1800 ou ce qui n'est pas une personne avec les dates de vie


1) Rues du Huitième Arrondissement, en excluant ce qui vient après P, ceux qui sont nés après 1800 ou ce qui n'est pas une personne avec les dates de vie · 2) Rues du Cinquième, même règle, sauf que je ne m'arrête pas avant la fin de l'alphabet · 3) Et la fin de cette histoire de noms de rues

  • Source:

    Paris, Rues du 8e
    http://www.parisrues.com/rues08/08-toutes-les-rues.html


  • 901-950 Un arrêté du 7 février 1935 donna à vette voie, qui traverse tout le parc Monceau de nord en sud, le nom de Ferdousi, ou Ferdowsi, nom sous lequel est connu le poète persan Abol Ghassem Mansour (933-1020).

  • 1451-1500

    • Ouverte par l'Assistance publique sur l'emplacement de l'ancienne institution de Sainte-Périne. Un décret du 2 mars 1867 lui donna le nom du célèbre navigateur italien Christoph Colomb (Gênes, en 1451 - Valladolid, le 20 mai 1506).

    • On supprima le passage Gautrin pour construire cette rue qui reçut par un arrêté du 30 avril 1883 le nom de Louis II de la Trémoille, vicomte de Thouars, prince de Talmont (Bommiers, le 20 ou le 29 septembre 1460 - Pavie, le 24 février 1525), gouverneur et lieutenant-général de Bourgogne, chef militaire qui remporta de nombreuses victoires durant les Guerres d'Italie et mourut à la bataille de Pavie.

    • Ouverte en 1881, un arrêté du 24 juin 1907 donna à cette rue le nom de l'architecte italien Domenico da Cortona dit Boccador (en Italie, vers 1465 - Paris, probablement en 1549), considéré comme le concepteur des plans du premier hôtel de ville de Paris (1533).

    • Rue ouverte par une ordonnance du 23 juillet 1823. En raison du voisinage de la place François-Ier, elle honore Pierre du Terrail, seigneur de Bayard, plus connu sous le nom de Bayard ou du chevalier Bayard (château de Bayard à Pontcharra, 1476 - Romagnano Sesia, le 30 avril 1524).

    • Cette rue fut ouverte par l'Administration de l'Assistance publique sur des terrains dépendant de l'ancienne institution de Sainte-Périne, Dans ce quartier où ont été groupés des noms de voyageurs, elle reçut par un décret du 2 mars 1867 le nom du navigateur portugais Fernand de Magellan (vers 1480 - île de Mactan (Philippines), le 27 avril 1521).

    • Rue ouverte par une Ordonnance du 23 juillet 1823. La place, ainsi que la rue François-Ier, doivent leur nom au fait qu'en 1823 on transporta la maison dite "de François Ier", Roi de France (Cognac, le 12 septembre 1494 - Rambouillet, le 31 mars 1547), au coin du cours la Reine et de la rue Bayard.

    • Cette rue ouverte en 1881 reçut par un arrêté du 30 avril 1883 le nom du poète Clément Marot (Cahors, 1496 - Turin, 1544).


  • 1501-1550

    • Rue ouverte en différents tronçons à partir de 1777, un arrêté du 16 août 1879 lui donne le nom de l'écrivain et poète Étienne de La Boétie (Sarlat, le 1er novembre 1530 - Germignan, le 18 août 1563), ami de Montaigne. La rue Montaigne (aujourdhui la rue Jean-Mermoz se trouvait à proximité, d'où ce choix.

    • L'ancienne allée des Veuves, indiquée sur le plan de Jouvin de Rochefort (1672), reçut par un décret du 13 juillet 1850 le nom de l'écrivain, philosophe, moraliste et homme politique français Michel de Montaigne (Saint-Michel-de-Montaigne, le 28 février 1533 - Saint-Michel-de-Montaigne, le 13 septembre 1592).

    • En raison du voisinage de l'avenue Montaigne, un décret du 25 janvier 1879 donna cette rue le nom du théologien, philosophe, orateur et moraliste Pierre Charron (Paris, en 1541 - Paris, le 16 novembre 1603).


  • 1551-1600

    • Rue en partie ouverte en 1649 et précédemment appelée rue d'Anjou-Saint-Honoré, elle a aussi porté le nom de rue des Morfondus. Depuis un arrêté du 9 mai 1881 elle honore le roi de France Henri III (Fontainebleau, le 19 septembre 1551 - Saint-Cloud, le 2 août 1589), qui porta le titre de duc d'Anjou.

    • Numéros 1-53 et 2-50 : 16ème arrondissement Numéros 55-fin et 52-fin : 8ème arrondissement Dans ce quartier où ont été groupés des noms d'astronomes, cette rue porte le nom du célèbre mathématicien, géomètre, physicien et astronome italien, Galilée (en italien Galileo Galilei) (Pise, le 15 février 1564 - Arcetri, le 8 janvier 1642).


  • 1601-1650

    • Un décret du 10 août 1868 donna à cette rue, comme plusieurs autres rues autour du parc Monceau, le nom d'un peintre, ici le peintre espagnol Bartolomé Esteban Murillo (Séville, baptisé le 1er janvier 1617 – Séville, le 3 avril 1682).

    • L'avenue prit ce nom en 1837 car elle prolongeait l'ancienne rue Matignon. Sa dénomination rend hommage à Charles Auguste de Goyon de Matignon, comte de Gacé (Torigni-sur-Vire, le 28 mai 1647 - Paris, le 6 décembre 1729), maréchal de France.


  • 1651-1700

    • Cette rue, ouverte en 1873 pour isoler le lycée Chaptal qu'elle longe, est nommée en l'honneur du mathématicien et physicien suisse Jean Bernoulli (Bâle, 27 juillet 1667 - Bâle, 1er janvier 1748). Il vint à Paris en 1690, et se lia avec les savants les plus distingués, particulièrement avec de L'Hôpital.

    • Ouverte en 1880, cette rue reçut en 1884 le nom du tzar et empereur Pierre Ier de Russie, plus connu sous le nom de Pierre le Grand (Moscou, le 9 juin 1672 - Saint-Pétersbourg, le 8 février 1725), en raison de la proximité de la cathédrale orthodoxe Saint-Alexandre-Nevski qui se trouve dans l'axe de la rue.

    • Rue ouverte en 1723. Elle porte le nom de Joseph-Antoine d'Aguesseau (1679-1744), conseiller honoraire au Parlement, créateur d'un marché dans le quartier, propriétaire des terrains.

    • Voie formée en 1670, entre l'avenue Matignon et l'avenue de Marigny, et en 1767, entre l'avenue de Marigny et la place de la Concorde. En 1772, elle prit le nom d’avenue de l'Élysée. C'est le Premier architecte du Roi, Ange-Jacques Gabriel (Paris, le 23 octobre 1698 - Paris, le 4 janvier 1782), qui dessina les plans de la place Louis-XV, aujourd'hui place de la Concorde. Il existe une villa Gabriel dans le 15ème arrondissement.


  • 1701-1750

    • Rue ouverte par l'Assistance publique sur l'emplacement de l'ancienne institution de Sainte-Périne. Dans ce quartier où ont été groupés des noms d'astronomes, un décret du 2 mars 1867 lui donna le nom du mathématicien et physicien suisse Léonard Euler (Bâle, le 15 avril 1707 - Saint-Pétersbourg, le 18 septembre 1783).

    • La rue fut créée en 1776 sur des terrains qui appartenaient à Louis d'Astorg d'Aubarède, marquis de Roquépine (1714-1782).

    • Cette rue porte le nom du financier Nicolas Beaujon (Bordeaux, 1718 - 1786), fondateur d'un hôpital portant son nom, l'ancien hôpital Beaujon. Le square Beaujon porte également son nom.

    • La place doit son nom au voisinage de l'Hôtel du maréchal-prince Charles Juste de Beauvau-Craon (Lunéville, le 10 septembre 1720 - Saint-Germain-en-Laye, le 21 mai 1793) devenu ministère de l'intérieur depuis 1861.

    • n° 1-121 et 2-92 : 8ème arrondissement n° 123-fin, 94-fin : 17ème arrondissement En raison du voisinage de la chapelle expiatoire, une ordonnance du 2 juin 1824 donna a cette voie le nom de l'homme politique, Chrétien Guillaume de Lamoignon de Malesherbes (Paris, le 6 décembre 1721 - Paris, le 22 avril 1794 (guillotiné), magistrat, ministre sous Louis XV et Louis XVI et l'un des défenseurs de ce dernier.

    • La rue fut ouverte en 1776 et d'abord appelée rue Guyot, du nom de Michel Guyot, un échevin de Paris. Un arrêté du 1er mai 1880 lui donna le nom du magistrat Armand Thomas Hue de Miromesnil (Mardié, le 15 septembre 1723 - Tourville-sur-Arques, le 6 juillet 1796) qui était garde des Sceaux lorsque la rue fut percée.

    • D'abord rue de Marigny puis avenue de Marigny, créée vers 1767 par Abel-François Poisson de Vandières, marquis de Marigny (Paris, le 18 février 1727 - Paris, le 11 mai 1781), directeur général des Bâtiments du Roi, Arts, Jardins et Manufactures, en l'honneur de qui elle est nommée. Elle longe le Palais de l'Élysée, qui avait été la résidence parisienne de sa sœur, Madame de Pompadour.

    • Rue ouverte par la Ville de Paris en 1854. Dan ce quartier où ont été groupés des noms de juristes, un décret du 2 mars 1867 lui donne la nom du jurisconsulte et homme politique Jacques de Maleville (Domme, le 19 juin 1741 - Domme, le 22 novembre 1824), un des rédacteurs du Code civil.

    • Rue ouverte par une ordonnance du 22 janvier 1840 sur les terrains de M. Léon de Chazelles. Une décision royale du 29 avril de la même année donna le nom du chimiste et philosophe Antoine Laurent de Lavoisier (Paris, le 26 août 1743 - guillotiné à Paris, place de la Concorde, le 8 mai 1794). On le considère comme le père de la chimie moderne.

    • La Ville de Paris a débaptisé cette voie pour honorer la mémoire de Joseph Bologne de Saint-George, plus connu sous le nom de Chevalier de Saint-George (Baillif (Guadeloupe), le 25 décembre 1745 - Paris, le 12 juin 1799), escrimeur et compositeur, et le premier mulâtre admis chez les francs-maçons.

    • En raison du voisinage du boulevard Malesherbes, cette rue, ouverte en 1859, reçut par un arrêté du 26 février 1867 le nom du jurisconsulte et homme politique Jean-Etienne-Marie Portalis (Beausset, le 1er avril 1746 - Paris, le 25 août 1807), un des rédacteurs du Code civil.


  • 1751-1775

    • Cette rue faisait autrefois partie de la rue de la Ville-l'Evêque. Un décret du 2 octobre 1865 lui donna le nom du juriste et homme politique Jean-Jacques-Régis de Cambacérès (Montpellier, le 18 octobre 1753 - Paris, le 8 mars 1824). Il participa à la rédaction du Code civil.

    • Louis XVIII fit élever la Chapelle Expiatoire à la mémoire du roi Louis XVI (Versailles, le 23 août 1754 - guillotiné place de la Révolution (place de la Concorde) à Paris, le 21 janvier 1793), et de Marie-Antoinette, à l'endroit où leurs corps ont été enterrés après leur exécution. Ce monument fut inauguré en 1826.

    • En raison du voisinage de la Chapelle expiatoire, une ordonnance du 2 juin 1824 donna à cette rue le nom de l'avocat Claude François Chauveau-Lagarde (Chartres, le 21 janvier 1756 - Paris, le 28 février 1841), un des défenseurs de la reine Marie-Antoinette.

    • Rue ouverte en 1864 par la Ville de Paris. Dans ce quartier où ont été groupés des noms d'hommes d'Etat, un décret du 2 mars 1867 lui donna le nom du comte Louis-Emmanuel Corvetto (Gênes, le 11 juillet 1756 - Gênes, le 20 mai 1821) qui fut ministre des finances à l'époque de la Restauration.

    • Cette rue est déjà indiquée sur un plan de 1652. Les différents tronçons eurent des noms divers : rue des Champs-Élysées, rue de la Bonne-Morue, rue de l'Abreuvoir-l'Évêque, rue de la Madeleine. Elle a pris sa dénomination actuelle le 2 octobre 1865 en l'honneur de l’homme de lettres et homme politique français François-Antoine de Boissy d'Anglas (Saint-Jean-Chambre, le 8 décembre 1756 - Paris, le 20 octobre 1826).

    • L'ancien passage du Marché-d'Aguesseau reçut en 1837 le nom de l'avocat Pierre-Nicolas Berryer (Sainte-Ménéhould, le 22 mars 1757 - Paris, le 25 juin 1841).

    • La rue fut créée en 1778 sous le nom de rue Neuve-de-Poitiers, puis devint la rue des Ecuries-d'Artois en 1823 et rue de la Réforme en 1848. Elle rçut sa dénomination actuelle par un arrêté du 10 juin 1897 parce qu'elle fut ouverte sur l'emplacement des écuries du dernier comte d'Artois, le futur Charles X de France (château de Versailles, le 9 octobre 1757 – Görz, le 6 novembre 1836).

    • Dans ce quartier où ont été groupés des noms d'hommes d'Etat, cette rue ouverte en 1864 par la Ville de Paris reçut par un décret du 2 mars 1867 le nom de l'administrateur et homme politique, le comte Nicolas François Mollien (Rouen, le 28 février 1758 - Paris, le 20 avril 1850), ministre du Trésor public de Napoléon Ier et fondateur de la Cour des comptes.

    • Cette rue, ouverte par la Ville de Paris pour l'isolement du collège Chaptal, reçut par un décret du 2 mars 1867 le nom du poète et auteur dramatique François Andrieux (Strasbourg, le 6 mai 1759 - Paris, le 10 mai 1833).

    • Cette voie reçut par une ordonnance de police du 12 janvier 1848 le nom de l'orfèvre Jean-Baptiste Claude Odiot (Paris, le 8 juin 1763 - Paris, le 23 mai 1850), propriétaire des terrains sur lesquels il ouvrit cette cité en 1847.

    • L'ancienne rue du Marché d'Aguesseau, ouverte en 1723 à l'emplacement primitif de ce marché, reçut par un décret du 27 février 1867 le nom de l'homme d'État et pair de France, Jean-Pierre Bachasson, comte de Montalivet (Sarreguemines, le 5 juillet 1766 - Saint-Bouize, le 22 janvier 1823).

    • Numéros impairs : 16ème arrondissement Numéros pairs : 8ème arrondissement Voie ouverte de 1834 à 1860 et précédemment appelée avenue Joséphine en l'honneur de Joséphine de Beauharnais. Un arrêté du 16 août 1879 lui donna sa dénomination actuelle afin d'honorer le général français de la Révolution, François Séverin Marceau (Luisant, le 1er mars 1769 - Altenkirchen, le 21 septembre 1796). La villa Marceau, dans le 19ème arrondissement, a la même origine.

    • Cette voie s'appela jadis (en 1730) ruelle des Jardins, en référence aux jardins de l'ancien village de Chaillot, puis rue du Château des Fleurs (1777), du nom d'un bal public très fréquenté, rival du jardin Mabille. Un décret du 2 mars 1867 lui donna le nom de l'homme politique et diplomate français, pair de France, membre de l'Académie française, Hugues-Bernard Maret, duc de Bassano (Dijon, le 22 juillet 1763 - Paris, le 13 mai 1839). Il est mort à son domicile 60, rue Saint Lazare (9e arrondissement) et est inhumé au cimetière du Père-Lachaise, division 31.

    • Cette rue, créée en 1810 pour former l'entrée de l'abattoir du Roule, reçut par une ordonnance du 5 août 1844 le nom de l'architecte Charles Percier (Paris, le 22 août 1764 - Paris, le 5 septembre 1838).

    • La rue fut ouverte vers 1790 comme la rue de la Croix. En 1796, on la nomma rue de Milan en souvenir de la prise de Milan par Bonaparte, le 14 mai de cette même année, puis, en 1815, elle devint la rue de la Croix-du-Roule. Un décret du 27 février 1867 lui donna le nom de l'homme d'Etat et historien, le comte Pierre-Antoine Daru (Montpellier, le 12 janvier 1767 - Meulan, le 5 septembre 1829).

    • Un décret du 2 octobre 1865 donna à cette rue le nom du duc Etienne-Denis Pasquier (Paris, le 21 avril 1767 - Paris, le 5 juillet 1862), préfet de police sous l'Empire, plusieurs fois ministre et dernier chancelier de France.

    • ... La rue a été dénommée en l'honneur du célèbre écrivain et diplomate François-René de Chateaubriand (Saint-Malo, le 4 septembre 1768 - Paris, le 4 juillet 1848), alors très populaire par son opposition résolue au ministère Villèle et son soutien à l'indépendance grecque.

    • Numéros 1-21 et 2-26 : 1er arrondissement Numéros 23-fin et 28-fin : 8ème arrondissement Rue projetée dès l'an IV et ouverte sur l'emplacement du couvent de la Conception. On lui donna le nom du général Léonard Duphot (Lyon, le 21 septembre 1769 - Rome (assassiné), le 28 décembre 1797).

    • Jusqu'en décembre 2001 cette rue s'appelait la rue Richepance, du nom du général Antoine Richepanse (1770-1802) qui rétablit l'esclavage à la Guadeloupe sur l'ordre du Premier consul. ...

    • La place s'appela d'abord place des Grésillons, en référence à l'ancienne voirie des Grésillons, puis, à partir de 1837, place de Laborde, en l'honneur d'Alexandre de Laborde (1773-1842), préfet de la Seine. Un arrêté du 8 juin 1946 lui donna le nom du philosophe Henri Bergson (Paris, le 18 octobre 1859 - Paris, le 4 janvier 1941), membre de l'Académie française à partir de 1918 et prix Nobel de littérature en 1927. Il est mort au n° 47 du boulevard de Beauséjour, dans le 16ème arrondissement, où il a sa plaque. [Ce n'est évidemment pas Bergson, dont nous cherchons les dates - il est post-industriel.]

    • L'ancienne rue des Grésillons puis rue Delaborde reçut par un décret ministériel du 10 janvier 1837 le nom de l'archéologue, écrivain et (très brièvement) préfet de la Seine, Alexandre Louis Joseph de Laborde (Paris, le 17 septembre 1774 - Paris, le 20 octobre 1842).

    • Un arrêté du 16 août 1879 donna à cette rue le nom du général de division et orateur Maximilien Sébastien Foy (Ham, le 3 février 1775 - Paris, le 28 novembre 1825), aide de camp de Bonaparte. Il est mort au n° 62 de la rue de la Chaussée-d'Antin, dans le 9ème arrondissement, où il a sa plaque, et il est enterré au cimetière du Père-lachaise, division 28.


  • 1776-1800

    • La rue fut ouverte comme voie privée sous le nom d’avenue de Chateaubriand en 1825 sur les terrains des anciens jardins Beaujon par la Société du quartier de la Chartreuse Beaujon, formée entre trois spéculateurs : Fortunée Hamelin (1776-1851), l'une des plus fameuses Merveilleuses sous le Directoire, et MM. Cottin et Rougevin. Elle devint rue de Chateaubriand par un décret du 23 octobre 1852. ...

    • Le nom de la rue rend hommage à Charles-Ferdinand d’Artois, duc de Berry (Versailles, le 24 janvier 1778 — Paris, le 14 février 1820), fils de Charles X.

    • Rue ouverte en 1842 sous le nom de rue du Centre parce qu'elle avait été percée au centre des terrains de l'ex-Folie Beaujon. Elle prit sa dénomination actuelle en 1881 en l'honneur de l'écrivain, prêtre et philosophe français Félicité Robert de Lamennais (Saint-Malo, le 19 juin 1782 - Paris, le 27 février 1854). Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise, division 53.

    • Cette rue ouverte en 1825 porte depuis un décret du 23 octobre 1852 le nom du poète anglais George Gordon Byron, généralement appelé Lord Byron (Londres, le 22 janvier 1788 - Missolonghi, le 19 avril 1824), qui aurait habité cette rue.

    • La rue fut ouverte, par une ordonnance du 24 mars 1825, par le comte de Castellane et M. Gouin sur l'emplacement du grand hôtel de Soyecourt. Le comte Boniface de Castellane (Paris, le 21 mars 1788 - Lyon, le 16 septembre 1862) fut colonel des hussards, maréchal de France et pair de France.

    • Rue ouverte en 1842 quand elle faisait partie de la rue des Ecuries-d'Artois. En 1848, elle a porté le nom de rue de la Réforme. Un décret du 10 novembre 1877 lui donna le nom de l'avocat et homme politique Pierre-Antoine Berryer (Paris, le 4 janvier 1790 - Augerville-la-Rivière, le 29 novembre 1868).

    • Numéros impairs : 8ème arrondissement Numéros pairs : 17ème arrondissement Cette place faisait précédemment partie du boulevard des Batignolles et du boulevard de Courcelles . Un arrêté du 6 novembre 1905 lui donna le nom de l'auteur dramatique Prosper-Parfait Goubaux (Paris, le 10 juin 1795 - Paris, le 31 juillet 1859), fondateur du collège Chaptal qui se trouvait dans le voisinage.

    • Précédemment rue Fournial et rue de Vigny, la voie porte depuis un décret du 2 mars 1867 le nom de l'écrivain, romancier, dramaturge et poète Alfred Victor, comte de Vigny (Loches, le 27 mars 1797 - Paris, le 17 septembre 1863).

    • Rue ouverte en 1867. En raison du voisinage de la gare Saint-Lazare, un décret du 2 mars de cette même année lui donna le nom de l'ingénieur et physicien français Émile Clapeyron (Paris, le 26 février 1799 - Paris, le 28 janvier 1864). Il fait partie de la liste des soixante-douze noms de savants inscrits sur la tour Eiffel.

    • Cette rue fut ouverte en 1825 entre l' avenue des Champs Elysées et la rue Chateaubriand, et prolongée en 1842 jusqu'à la rue du Faubourg Saint-Honoré. Cette voie fut dénommée rue Balzac en 1850, après la mort du célèbre écrivain Honoré de Balzac (Tours, le 20 mai 1799 (1er prairial an VII) - Paris, le 18 août 1850) qui vécut dans la rue. Précédemment, elle a porté les noms d'avenue Fortunée, entre l'avenue des Champs Elysées et la rue Chateaubriand (plan de Jacoubet), et de rue Fortuné entre la rue Chateaubriand et la rue du Faubourg Saint-Honoré (comme indiqué dans le Moniteur du 28 juin 1851). La partie qui était comprise entre l' avenue de Friedland et la rue Beaujon a été incorporée dans la place Georges Guillaumin. Honoré de Balzac est inhumé au cimetière du Père-Lachaise (division 48).

    • Cette allée du parc Monceau porte depuis un arrêté municipal du 30 août 1978 le nom de la femme de lettres Sophie Rostopchine, comtesse de Ségur (Saint-Pétersbourg, le 1er août 1799 - Paris, le 9 février 1874). Précédemment, elle s'appelait allée Velasquez (elle donne dans l'avenue Velasquez).


  • Le décomptage, période après période, se fera ensemble avec le Cinquième, pour y trouver davantage du Moyen Âge.

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