Dernière fois dans la Bibliothèque de Versailles

je rencontrais un homme auparavant ami.

Je ne lui saluais pas. Quand il éternuait, je lui souhaitais "santé" comme on fait parmi allemands (Gesundheit).

Par contre, il a eu l'opportunité de m'aider de me publier sur papier, et il insistait à cette époque là que je lui fasse un document pdf sur chaque partie du texte que je voulais avoir dans le livre.

Mais le truc était justement que CHAQUE article dans mes blogs (avec bientôt 5000, ça serait impossible de les mettre tous sur un pdf) est potentiellement partie d'un livre.

S'il avait voulu, il aurait pu cueillir selon ce qu'il trouvait bien ou agréable, il aurait pu éventuellement pu demander s'il hésitait "puis-je mettre cet article avec ces autres" (et la réponse aurait été oui, c'est dans mes conditions), ou "avec tel article, y a-t-il un autre que tu veux ajouter en même temps" (et j'aurais indiqué mes préférences dessus).

Vu que mes conditions prévoient l'absence de monopole sur les droits de reproduction, il n'y aurait pas été catastrophique si tel premier livre aurait été maladroit dans la composition entre les articles. Aucun contrat aurait empêché qu'on en fasse un autre un peu mieux équilibré, illico.

Par contre, demander que je prennent des initiative pour chaque publication sur papier individuellement, c'est réduire fortement le nombre de republications sur papier que mes articles peuvent avoir.

Il insistait sur son point de vue, qui n'est évidemment pas le mien. Je l'aurais mieux respecté s'il n'avait en rien même prétendu de me vouloir aider que de me faire ça.

Après, on a nos différences politiques et théologiques aussi. Pour lui, la règle est d'éviter le communisme et le nazisme et tout ce qui lui semble les rappeler. Pour moi, la règle est de les éviter en tout ce qui les séparent de l'Ancien Régime, du Moyen Âge, des choses que j'admire. En théologie, il mélange la question quelle forme d'Islam est le plus bienfaisant pour Chrétiens avec la question quelle est le moins incorrecte en soi, vis-à-vis Dieu et la Vérité, et encore avec la question quel genre de Chrétien on doit être pour ne pas heurter ses alliés Musulmans. La bonne question en premier est quel est le dogme, quelles sont en dehors du dogme stricte les autres vérités chrétiennes.

De toute manière, je n'ai pas repris l'amitié.

Hans Georg Lundahl
Paris XV
XII Dimanche après Pentécôte
7.VIII.2016