Friday, 27 October 2017

Avant de souhaiter bonne fête aux lecteurs Chrétiens


Il y a, pour la vérité, un homme à qui je ne souhaite pas bonne fête. Après avoir dégagé mon bagage, comme il avait demandé, j'aurais voulu lui passer un gifle avant qu'il rentre. Il a été très habile pour l'éviter, mais ça aurait été encore plus habile de lui de ne pas provoquer ma colère, de plutôt m'avoir permis de rester la nuit./HGL

Ah bon, le Jour de ces Apôtres est demain. J'avais mal lu le martyrologe, hier, à part la possibilité théorique que le site était momentanément hacké, c'est au moins correct aujourd'hui.

Ceci me donne le droit de me prononcer un peu davantage sur cet homme. C'est à cause des inhospitalités comme les siens, que je suis souvent surfatigué. Il était dans ses droits, juridiquement, de me demander de partir. Mais il a utilisé ce droit d'une manière méprisable.

Dans le cas qu'il est en complicité avec d'autres (ce qui est probable, mais ce que je ne suis pas en position de prouver, ça serait à faire par ceux qui savent ce qui se passe en mon absence sur ma réputation) qui se sont donné un mot pour que je sois chassé d'un endroit à autre, ceci est, par contre, criminel. S'il est en complicité avec des gens qui enregistrent des bavures de fatique, comme d'avoir hier cru que c'était déjà la veille des Saints Jude et Simon, alors, s'ils abusent ces bavures observées pour me tamponner comme malade mental et encore augmenter les illibertés et inhospitalités et fatigues, ceci serait un crime.

Après de l'avoir quitté, et avant d'avoir rencontré la dame (voir le message prochain), j'ai passé un quart d'heure ou cinq minutes d'imaginer comme je pourrait le maltraiter, et, devant un juge dire que ce n'était quand même pas très douteux qu'il était dans une telle intrigue, vu la routine avec laquelle il se faisait dégueulasse sans se faire prendre. Il y a une élite de positions certes modestes mais clés (je le considérerais comme professeur, médecin, psychiatre, aide-soignant psychiatrique ou des choses comme ça) qui, en abusant leurs positions pour la calomnie des gens et leur propriété pour l'inhospitalité, dégradent les vies des gens. Des gens des positions encore plus modestes, comme la mienne comme écrivain sous-payé, ou des gens des non-positions.

Dans le cas d'une révolution - ce que je ne souhaite pas, en soi - et dans le cas qu'il y avait davantage que juste l'inhospitalité visible et indubitable, plutôt aussi une position comme psychiatre, si je le voyais pendu dans une lanterne ou sa tête sur une pique, avec le bouche pleine d'herbe, comme celle de Foulon (à qui on attribuait, à raison ou a tort "qu'ils broutent de l'herbe"), ce n'est pas pour lui que je pleurerais.

Ceci dit, je n'ai pas fait une quelle-conque révolution, ni pendu qui que ce soit dans une lanterne, ni même maltraité ce mec, même pas la baffe, que j'avais intentionné juste avant de partir.

Hans Georg Lundahl
BU de Nanterre
La Veille de Sts Simon et Jude*
27.X.2017

* La vraie, cette fois.

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