Désobligeant envers un sdf enrhumé un dimanche

Je vais d'abord prendre ce que relève de la plus intriquée désinformation.

Un couple se promène avec un enfant dans le poussoir et un garçon qui se balade à côté. Au lieu de me poser la question directement, ils ont poussé leur garçon à la pousser. Et ils sont restés pour écouter ma réponse énervée.

"Pourquoi ne veux-tu pas avoir une maison?"

Pas "pourquoi tu n'as pas" comme ça arrive souvent que des enfants sont curieux, mais pourquoi je ne voulais pas en avoir. Ceci relève d'une désinformation que les adultes ont posé à lui, pas d'une curiosité naturelle.

J'ai crié en colère, on m'avait déjà fait des quolibets à deux reprises avant ce dimanche, ou même trois : "c'est pas que je ne veux pas, je veux bien, mais chaque fois que quelque chose se montre, quelque chose intervient pour l'empêcher !"

Fort bien, avec moi ayant hurlé à leur garçon, ils sont capables de me poser encore d'entraves, mais il me convient de préciser ce que je veux et ce que je ne veux pas.

Je ne veux pas être logé :

• dans cette association avec d'autres sdf;
• avec un colloc plus vieux;
• sous tutelle financière de quelqu'un;
• avec comme bienfaiteur celui qui venait de convoiter mes libertés en offrant d'être mon tuteur financier.

Je veux par contre être logé :

• idéalement, sur le revenu que mes blogs pourraient générer en forme de livres sur papier, donc commerciables;
• à la limite sur les argents envoyés par ma famille, pourvu que la réclamation de dettes d'études ne bouffe pas tout, ou plus que la moitié. Autrement, ça serait suffisent pour un an de loyers.

Et justement, des réclamations de dette d'études me harcèlent, depuis l'argent envoyé de ma famille, il y a eu ces hauts et bas, le constat de l'argent, et le constat que des annuités accumulés et abusifs pour un n'ayant pas de revenu taxable viennent après les autres réclamations de CSN (demandez à un thésard et vous aurez une réaction comme "croix et ail, s v p !" - en les comparant à des vampyres). J'aurais pu payer il y a très longtemps, s'il n'y avait pas eu cette insistance de la part de certains de prendre le propos d'imprimer des morceaux choisies et assemblés de mes blogs comme une blague.

Et cette désobligeance n'était pas la première hier, il y avait eu une voiture du 33, un homme se penche et me crie "salut, Jésus !" et je me vois obligé de crier après "je ne m'appelle pas Jésus !" mais la voiture était déjà partie. Plus tard, des policiers sur vélo passent à côté de ma promenade, et un d'entre eux, il me hèle "ave César !" et je me vois obligé de crier après "je ne m'appelle pas César !" - et je ne me prends ni pour Jésus-Christ, ni pour Jules César, précisons-le ! Il y a eu environ 139 de la France depuis mon dernier article sur ce blog, et mon attaque en règle envers la psychiatrie a pu déclencher une contreattaque visant à me peindre comme désorienté de ma propre personne (deux tentatives) ou auto-destructif (la troisième, décrite en plus de détail). Et là, j'en passe si quelqu'un qui m'a félicité d'avoir une rhume plutôt qu'autre chose visait le mental, il s'est expliqué d'une manière au moins polie, contrairement à ces trois là./HGL