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Friday 23 October 2020
Le Tchétchène ne parlait pas trop bien le français pour l'être
Dictature médicale? · Masque à côté dans l'accueil? · JDD : "mort pour la liberté d'enseigner" - faux · Réaction de Macron? · Le Tchétchène ne parlait pas trop bien le français pour l'être
Je viens de lire au Rivarol qu'il s'est adressé à Macron avec les mots:
"calme ses semblables"
Il ne s'agit pas d'un honorifique à l'Espagnole ("calme a Sus semejantes,"avec un sujet Usted en troisième personne sous-entendu). Non, il s'agit d'un verbe décliné à la slave.
Je ne sais pas si on l'as compris, mais il a voulu dire "calme tes semblables". Dans les langues slaves (j'ai pas réussi d'en apprendre même une, mais j'en ai étudié une, le polonais), le verbe se calmer se conjugue "je se calme, tu se calmes, il se calme, elle se calme, nous se calmons, vous se calmez, ils se calment, elles se calment".
Me, te, nous, vous, ça existe comme pronom du complement d'objet direct (ou indirect) uniquement avec un sujet autre que - dans le même ordre - je, tu, nous, vous. Comme le, la, les.
Et si le Tchétchène avait pu répondre devant la cour, elle aurait eu les oreilles plein de cette conjugaison. Mais en plus, elle aurait déniché les motivations, comment un laïcisme plus modéré (ou supposé tel) en Russie écœure les Tchétchènes ayant souffert une guerre atroce dans leur tentative de gagner l'indépendance. L'armée russe en Tchétchénie a été un peu comme l'armée des États-Unis au Vietnam.
Et, avec la bonne cafféine commençant à faire son effet, je me rends compte, "ses" pourrait se référer à de Samuel Paty, plutôt qu'à de Macron. Ce serait donc un pronom possessif de troisième personne parfaitement correct. Je ne vais pas répéter la qualification, le professeur était à la place qui n'était pas la sienne devant des élèves de famille musulmane. J'ai été moi-même à une place qui ne me convenait pas. En quoi? En prof de suédois et de l'allemand. Comment? J'ai voulu faire un peu de grammaire et on me savait né en Autriche, et en privé j'avais dit être pour Franco. Ce qui a fui, de manière qu'on me prétendait Nazi, et mon mode d'enseigner une manière sournoise de faire lavage de cerveau pour obéissance sans réfléchir, comme ça serait le cas dans les SS. D'autres m'ont prétendu homosexuel. Le plus petit conflit en classe, surtout à propos la discipline, et le village était aux aguets, et mon CDD n'a pas été renouvelé. J'en suis heureux.
En général, un parent qui n'a pas confiance dans un des professeurs a le droit de retirer ses enfants ou ados. La maudite obligation scolaire rend ceci impossible en pratique. Donc, au professeur de se retirer.
Avant de se vanter d'insister sur la liberté d'expression dans une application assez extrême, et qui en plus n'aurait pas été voté sauf sur la compréhension "quitte à qui veut de ne pas le lire" il serait bien d'insister sur la liberté des parents de choisir l'éducation. Liberté que certains voudraient tellement limiter qu'on peut parler de l'abolir.
Hans Georg Lundahl
Paris
St. Théodore d'Antioch
23.X.2020
PS : à noter qu'en parlant du Vietnam, je considère les deux côtés comme ayant commis l'inaccaptable, une fois les Français partis. Ho Chi Minh a voulu provoquer ses ennemis à faire l'inacceptable, et les nouveau venus ont fini de le faire./HGL
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