Dictature médicale? · Masque à côté dans l'accueil? · JDD : "mort pour la liberté d'enseigner" - faux · Réaction de Macron? · Le Tchétchène ne parlait pas trop bien le français pour l'être
Le Parisien:
Après l’attentat de Conflans, comment Emmanuel Macron organise la riposte
«La peur va changer de camp», a déclaré le président lors du Conseil de Défense qui s’est tenu ce dimanche soir, deux jours après la décapitation du professeur d’histoire. L’exécutif travaille à de nouvelles mesures contre le séparatisme islamiste.
Après l’attentat de Conflans ... LeParisien
Par Pauline Théveniaud
Le 18 octobre 2020 à 19h46, modifié le 18 octobre 2020 à 23h51
https://www.leparisien.fr/politique/lutte-contre-le-terrorisme-les-pistes-du-gouvernement-apres-l-attaque-de-conflans-18-10-2020-8403829.php
Idéalement, après un conflit qui commence avec son propre dérapage, on essaie de désamorcer, pas d'escalader.
Il s'agit notamment de renforcer la sécurité des enseignants et de mieux détecter les signaux de menace sur les réseaux sociaux.
Ce renforcément peut être retourné contre d'autres que juste les islamistes, et les enseignants publics de tendance "normale" peuvent se sentir en impunité absolue en véhiculant leur politiquement correct.
Entretemps, en ce qui concerne la liberté d'enseigner, imaginez un professeur qui voudrait:
- enseigner les douleurs infligés par l'avortement à une personne humaine déjà assez développée (ayant coeur, cerveau, des yeux certes fermés mais quand même des yeux ...)
- enseigner les doutes scientifiques sur, voir les preuves scientifiques contre, l'évolution (celle de tous les êtres vivants d'un seul ancêtre, dont le premier ancêtre se serait développé des réactions chimiques etc)
- enseigner comment la Guerre de Vendée fut un génocide perpétré par la Ière République?
Il aurait des gros problèmes avec ses collègues, au moins à partir de la réaction de certains élèves et parents d'élèves, car, contrairement aux caricatures de Mahomet, il y a certains "blasphèmes" que les laïcards ne pardonnent pas. Même (ou surtout) s'ils relèvent de l'argumentation rationnelle plutôt que de la caricature.
On pourrait espérer une solution par un séparatisme scolaire, des écoles privées, de la scolarisation à maison ... justement, ce dont Macron ne veut pas. Pas selon la nouvelle "loi contre les séparatismes".
Autrefois, à St. Nicolas du Chardonnet, il y avait un gentil abbé qui était sédévacantiste et qui venait d'Alsace ou Lorraine. Dans ce milieu concordataire, il avait répéré une idée selon laquelle les parents choisissent l'école, et l'état rémunère les écoles en fonction des adhérents. C'est le genre d'idée civilisée qui manque cruellement à la France laïcarde, notamment l'école publique.
Hans Georg Lundahl
Paris
St. Jean de Brébeuf
19.X.2020
No comments:
Post a Comment