On essaie de me donner des astuces sur la publication

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• Un sur quora pose la question comment savoir si un manuscrit envoyé à Elsevier est rejeté ou encore sous considération ;
• une réponse sur une question d'édition indique de se fier à la procédure de l'édition 100 % conventionnelle et d'éviter l'autopublication (la forme qui s'appelle vanity publishing).

Tout d'abord, le vanity publishing n'est pas tout aussi bête comme méthode que cette réponse indique, certes, on paie en avance pour avoir une édition (et parfois de l'avoir en vente), mais il y a des gens qui gagnent là-dessus, en dehors des fournisseurs du service. Des auteurs qui y gagnent. Une fois que ça vend, l'auteur de vanity publishing a une plus grande partie en droits patrimoniaux, voir le total, s'il s'en charge de la vente.

Mais en plus, juste parce que ce sont les modèles connus, ça ne veut pas dire qu'il soit les seuls deux modèles possibles ou légaux.

Mon modèle est une licence générale, de droits non exclusifs de produire y compris commercialement. Et de remunération libre envers moi, bien entendu, ce n'est pas le devoir de l'éditeur de se contenter d'une remunération libre.

Mon espoir est la fondation d'une maison d'édition qui profitant de ce modèle, pour mes choses ou pour mes et celles d'autres, gagnent de l'argent pour eux-mêmes et pour moi.

À mon avis, ce serait une belle moyenne entre la publication conventionnelle (qui n'est d'ailleurs pas exclue de mon modèle, à moins de s'auto-exclure par acharnement sur leurs modèles pré-existants) et la vanity publishing. Par contre, juste parce que mes sujets touchent ceux de certains publications par Elsevier, ça ne veut pas dire que j'ambitionne en premier ligne d'être publié par eux, ils ont un modèle où le contenu même en ligne est très réservé au payants, moi je fournis d'abord la version en ligne gratuitement, en espérant d'être remuneré pour exemplaires en papier, ensuite, eux ils font de la science naturelle conventionnelle, gérée avec athéisme méthodologique ou naturalisme, je fais critique de sciences et je critique justement ce point là, donc, vouloir être publié par eux, est-ce qu'un auteur en Yiddish se serait tourné vers Der Stürmer pour être édité ? Au minimum, il n'aurait pas voulu se limiter à cette possibilité !/HGL