Sunday, 30 March 2025

Si quelqu'un voudra prétendre irrationnel de ma part d'être écrivain plutôt que de chercher du travail ...


Tout d'abord, je me suis formé à la tâche depuis 2001.

Ensuite, les réinsertions et insertions, comme noté en 2003* par Denis Castra, n'insèrent pas.

Et pas seulement la clientèle des assistants sociaux ou des conseillers est fidélisée, mais des assistants sociaux en ont besoin.

En réinserant trop de gens, les assistants sociaux perdraient des tâches sur lesquelles ils se sont formés.

Le patronat en a aussi un intérêt, si c'est trop facile de trouver travail, trop de gens seraient tentés de quitter un patron peu génial.

D'où 5 % des jeunes qui se déclaraient pas autonomes, et les conseillers attribuaient ça à 29 % (la table de p. 34). D'où 82 % des jeunes qui se déclaraient réfléchis, et les conseillers attribuaient ça à 14 %.

Probablement, les mêmes points de vue sont ceux des patrons. La rationnalisation crée en partie du loisir. Mais en large partie un surplus des applicants pour les tâches rémunérantes. En théorie, si les postes sont pas fixes, créer son propre aurait d'intérêt. Mais en pratique, pour pas mal, un homme qui essaie de faire son futur dérange.

Les gens qui aimeraient que je cherche un poste autre que d'écrir, sont des gens qui imaginent que j'aurais besoin d'un mentor. Au contraire ! Je me vois exclu d'un revenu par trop d'offres de mentorats au lieu de partenariats.

Hans Georg Lundahl
Paris
dimanche Laetare
30.III.2025

* L'insetion des professionnelle des publics précaires (puf, Le travail humain)

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