Autres adorateurs d'Apollon

On dissuadait des pèlerins de venir à Pontmain · Autres adorateurs d'Apollon

Academia.edu

Dear Hans-georg,

The name “H. Lundahl” was mentioned in a paper published in Psychopharmacology.

Je suis invité de regarder la mention, et ensuite, si ce n'était pas moi, de le signaler.

Je clique le bouton pour regarder la mention, et je vois ceci :

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En d'autres mots, je n'ai pas la possibilité de voir si je suis confondé avec quelqu'un d'autre ou, sinon, si quelqu'un ment sur moi.

J'ai par contre la sécurité de ne pas me confondre moi-même avec quelqu'un d'autre ciblé comme moi ...

J'étais en train de mendier. Pas loin d'une église évangélique. Et une femme m'invitait à entrer, je ne voulais pas, je suis Catholique. Le truc est elle disait "ton âme est malade" - et elle n'avait aucune envie de dire sur quoi elle concluait que j'étais dans un était de péché, plutôt que dans l'état de grâce.

Peut-être qu'elle imaginait que j'étais dans la rue à cause de ma vie "partie en vrilles" ou quelque chose? Non, je suis figé dans la rue par les regards comme le sien.

Des gens qui ne veulent pas savoir ce que je peux contribuer, ce que je contribue déjà, en écrivain. Des gens qui se demandent comment eux ils peuvent contribuer à changer ma vie ... pas ma situation, d'abord, mais mes choix, mon mode de vie, car, apparemment, ça serait le problème.

Par exemple, il y a des gens qui me prennent pour un alcoolique. Et là, ils ne restent pas à m'inviter à donner ma vie à Jésus, ils fond du boulot pour plus ou moins me forcer à boire moins - et le résultat est que je me trouve obligé de boire plus.

Davantage de soirs que, sans alcool avant de dormir, je peux solidamment compter sur un réveil vers 1 ou 2 ou 3h du matin pour pisser, ou même sur une heure ou deux sans de pouvoir me rendormir.

Davantage d'abcès pour lesquel j'utilise le bleu (le fromage pâte persillé, si vous ne connaissez pas l'expression "un bleu" et que vous voulez vérifier) comme pénicilline et l'alcool fort pour rincer les dents de manière antibactérielle (et anesthésiante, pour la période que ça fait mal).

Même davantage de diarrhées que je peux guérir en prenant un peu d'alcool pour pisser avant la prochaine selle.

Comment ils font?

1) offrir de la nourriture;
2) vérifier "que je mange correctement";
3) m'épuiser (en privations de sommeil) pour augmenter mon besoin de sucre (ce qui a un effet d'antabus);
4) faire prier des Chrétien en état de grâce et habitude de prière non troublé que je mange davantage de sucre ou d'autres trucs pour donc, "boire moins" ... s'ils sont génuines mais niais;
5) mettre en système certains refus de me donner de l'argent sur l'endroit où je me trouve pour m'obliger ainsi de prendre les trucs sucrés qu'on avait offert ...
6) compter sur mon début de diabète ...
7) parasiter le peu de gens que je valorise vraiment comme amis pour me faire passer à travers eux des trucs qui leur passe par la tête à mon propos.

Il y a des gens qui auraient été une aubaine si mon problème de santé avait été en priorité un problème d'alcool. Ils ne le sont pas quand je compte les effets néfastes de leurs bienveillances mal dosées et le risque qu'ils recommencent contre le bienfait médical d'une petite dose d'alcool, s'ils ne recommencent pas illico.

Ils sont quelque part adorateurs d'Apollon de Delphes, car ils vérifient mon état de santé par divination plutôt que par questions ou - si je ne réponds pas - le fait de me laisser à ma propre sagesse en médecine. Et ils deviennent adorateurs d'Apollyon par la destructivité que leurs gestes surajoutés peuvent avoir.

Mais que dire des gens qui, tout en se prenant pour des Chrétiens, dirigent leurs prières par les directives de ces adorateurs d'Apollon? Ne deviennent-ils pas quelque part la pute de ces adorateurs d'Apollon?

Entretemps, si j'aimerais des mentions sur Académia, ce serait plutôt pour mes recherches sur carbone 14 dans la chronologie biblique que pour des trucs en psychopharmacologie - un sujet que je considère comme un escroc et sur lequel je n'écris pas comme même une prétention d'expertise d'amateur, juste comme un étranger au sujet mais indigné du pseudo-sujet - dans lequel je n'ai donc pas envie de servir comme cobaie.

Hans Georg Lundahl
Paris
Veille de St. Bartholomé
23.VIII.2022