Il y a des gens qui me considèrent comme étant un refugié de mes dettes · Antipigiste, ça existe · Antipigiste, les modalités spécifiques à cette agence de features · Ne devrais-je pas d'abord finir les études? · Ou ne devrais-je pas prendre un boulot alimentaire?
Encore un sémestre, et je serais dans une situation beaucoup meilleure pour ce que je veux ?
Non. Je ne le serais pas.
Pour certains types d'éducation universitaire, la différence d'un sémestre eu ou non eu peut faire la différence entre capacité de gérer un métier et incapacité :
- avoir l'anatomie mais pas la pathologie ou encore la pathologie mais pas la pharmacologie n'est pas très intéressant pour un médecin débutant
- connaître la loi d'un sujet mais pas la loi sur les procès, la différence entre litiges et procès criminels, ce serait insuffisant pour un avocat
- être prof avec juste les sujets enseignés, mais sans la pédagogie (en cas d'un clientèle en école publique et obligatoire au moins), c'est au moins dur ...
Par contre, toujours selon le livre de Que Sais-je? Technique du Journalisme par Philippe Gaillard, aucun diplôme n'est indispensable pour être journaliste. À plus forte raison, pour être écrivain en dehors des réportages.
En plus, faire le supplément dans un parcours du journalisme prendrait davantage que juste un sémestre. Davantage que ce que je pourrais recevoir en aide.
Suggérer un retour aux études est une manière détourné de prétendre (en soi et en effet assez malicieusement) qu'on devrait considérer les 9000 + articles sur mes blogs comme des "gammes" d'un écrivain pas forcément mûr, ce qui n'est absolument pas le cas. Il y a des gens qui, tant qu'ils peuvent, vont jamais se décider de me regarder comme un homme adulte, bien que j'ai 53 ans. Ils pensent que l'état adulte correspond à une liste à cases à cocher et ils ont d'autres vues que moi comment certains cases peuvent se cocher. Et là, ils se trouvent fâce à un soutien, au moins partiel (ou le faisaient récemment), ils ne peuvent pas (ou n'ont récemment pas pu) se permettre de frontalement attaquer mon projet, alors ils parlent de "maturité" ...
C'est suffisamment flou pour permettre qu'on se retranche dans le flou de ce flou.
Je dois par contre reconnaître une dette envers la langue commune. J'avais ici utilisé "antipigiste" comme synonyme "d'agence" et une autre fois, comme synonyme à une rédaction qui "sur le pige" prend des articles déjà existants. La différence entre "agence" et "rédaction" est plus satisfaisante.
Et les homohystériques, des gens qui voient des homos où il n'y a pas, il y a parmi homophobes et parmi homolibéraux ou autrement gay friendly. Donc, c'est bien fait que ce soit un autre mot qu'homophobe, même si cette hystérie en cas "d'homophobie" est vraiment une phobie et les positions "homophobes" ne le sont pas.
Mais avoir une telle dette envers le choix général d'un mot ou de deux plutôt qu'un seul, ce n'est pas avoir un manque à remplir par éducation encore future.
Il y a des gens pour qui, la vrai raison pourquoi certains voudraient que je reprenne les études, c'est la vraie raison pourquoi d'autres pensent que je ne ni pourrais ni devrais les réprendre. Que je serai de toute manière trop stupide. La vrai raison est:
- ils ne sont pas d'accord
- ils ne s'osent pas au débat.
Au moins pas dans un débat qui sera fait accessible aux internautes.
Et ça, c'est la vrai raison pourquoi parfois je les prends au dépourvu, mettant nos débats entre eux et moi, sur des plateformes comme FB, youtube ou quora, ou encore en mail, sur des blogs. Je veux montrer qui c'est qui perd un certain argument.
Là, ce ne sera pas forcément légal de réproduire ces posts sans l'accord de l'autre ayant droit, c'est pourquoi je les mets sur des blogs spécialisés, mais s'ils oseraient de porter plainte au propos de la simple mise en public du débat, je dirais que ceci est la partie la plus journalistique de ma carrière comme écrivain. C'est une chose de présenter mon argument. Là, je donne ce que je donne sans imposer aux autres, mais une autre de montrer les arguments (et vannes) des autres auquels j'ai fait face.
Si un jour je me retrouverais dans la psychiatrie, ça peut aider à montrer que j'ai déjà répondu à tel ou à tel argument. Et entretemps, si ces débats deviennent connus, je contribuerai peut-être un peu à un monde où elle aurait moins de pouvoir sur ma vie.
Hans Georg Lundahl
Paris
Veille de Sts Pierre et Paul
28.VI.2022
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