Friday 28 July 2023

Jean-Louis Tertian vient de publier un livre sur la souveraineté


Jean-Louis Tertian vient de publier un livre sur la souveraineté · Avant d'aller sur des observations intelligentes par Jean-Louis Tertian - revisitons un peu la souveraineté ... · Voitures électriques · Autre en passant : l'offre de travail n'est pas figé en pierre

La souveraineté stratégique : une question de tempo
Broché – Livre grand format, 30 juin 2023
de Jean-Louis Tertian (Auteur), Joachim Murat (Préface)
https://www.amazon.fr/souverainet%C3%A9-strat%C3%A9gique-une-question-tempo/dp/2354491174


Et, si à la fois le prince Joachim Murat dans la préface, et l'auteur lui-même plusieurs fois dans le texte* parlent de réindustrialisation comme un enjeu pour atteindre la souveraineté stratégique, il y a des questionnements que j'impose à ce constat.

Tout d'abord, la souveraineté n'est pas le bien suprême de l'état. L'état n'existe pas pour être souverain, quoiqu'il serait annihilé ou amoindri en perdant sa souveraineté. La société civile laïque sur ses niveaux entre municipalité et état souverain, parfois au-delà, existe pour rendre possible la bonne vie de ses membres.

La bonne vie, de ce point de vue, peut se définir de deux manières, une primordiale et une succédanée. La bonne vie est tout d'abord la vie en état de grâce, qui mène au ciel. La bonne vie est encore aussi une vie hors la grâce mais en position de facilement l'atteindre. Le bébé nouveau-né n'a pas encore la grâce, mais s'il est en bonne santé et pas menacé d'avortement, c'est une bonne vie parce qu'il pourra être baptisé dans les huit jours suivants. Quand Lancelot visite la reine Guenièvre pour commettre un adultère, au moins en affection, on peut encore alors parler d'une bonne vie, parce que les deux sont Catholiques et vont se convertir.**

La bonne vie est une vie qui facilite le maintien des biens terrestres essentiels sans perte de grâce et sans obstacle à la conversion. C'est donc une vie de paix, et non pas de soucis incessables. Mathieu 13:7 nous apprend que les soucis terrestres peuvent conduire à l'enfer, par la réaction qu'ils provoquent. Là, et non la souveraineté, c'est le bien essentiel de l'état : procurer la bonne vie à ses citoyens. La souveraineté peut être vis-à-vis certaines situations un moyen essentiel. Mais le moyen n'a pas à se substituer au but.

Comme atout disposé par l'état, la souveraineté a trois cibles possibles.

L'étranger (y compris "l'étranger en résidence") qui ne doit pas menacer la vie paisible des citoyens.

Les citoyens, qu'on peut considérer comme sabordant les projets de l'état souverain.

Dieu.

Garder la souveraineté vis-à-vis l'étranger est normalement un bien. Le garder vis-à-vis les citoyens est plus équivoque. Et le garder vis-à-vis Dieu est criminel.

Ce qui m'inquiète avec le livre est que, pour garder la souveraineté vis-à-vis l'étranger, il préconise une réindustrialisation qui, en certaines situation, pourra devenir une aggression ou au moins une pression souverainiste vis-à-vis le citoyen, peut-être même vis-à-vis les droits de Dieu. L'auteur parle des vaccinations comme un projet légitime, pas juste à proposer, mais à imposer aux citoyens. Page 27 :

la vraie limite se trouvant in fine dans la capacité à convaincre les plus réticents de la pertinence de se faire vacciner dans l'intérêt collectif.


Depuis la lecture du NYT du 4 août 2020, je sais que les vaccins contre Covid-19, sans exception, utilisent sur quelque étape de la production des virus cultivés sur des cellules de fétus. Notons, ceci ne vaut pas pour tous les vaccins. Les vaccins contre bactéries, on utilise une solution de glucides pour les cultiver, car les bactéries peuvent se réproduire elles-mêmes. Les virus non, ils piratent la réproduction de cellules - et pour cultiver des virus, on a choisi historiquement des cellules différentes. Le vaccin contre la variole utilisait des cellules de foie bovin. Les cellules utilisés à ce vaccin, en Russie comme en Grande-Bretagne, et, en moindre échelle pour les vaccins expérimentaux, sont d'un avortement dans les Pays-Bas des années '70.***

Les pressions utilisés par l'état ont inclus le passe vaccinale, dont le reprise pourrait être le marque de la bête :

  • c'est quelque part le marque de la profession médicale, dont le serment d'Hippocrate évoque Apollon, dont les cinq cas s'ajoutent à 2666;
  • c'est "gravé" ce qui évoque l'étymologie de charazo;
  • on le prouve par un passe qu'on porte dans la main droite.


Entretemps, si le masque ne se portait pas sur la partie entre les cheveux et les sourcils, le mot métopon en grec peut évoquer la figure en entière. Le métopon d'un casque de la Grèce antique était en grec homérique la vizière, qui couvre la figure en entière. Et les deux auteurs principaux d'appeler le "dieu" Apollon Apollyon sont, Homère et St. Jean. Dans le premier chant de l'Iliande et dans l'Apocalypse. Ce dernier était donc probablement familier avec Homère.

Un example d'école pour une souveraineté d'état ciblant les citoyens d'une manière qui est un affront à Dieu.

La politique anti-Covid a aussi été stressante pour la population (citoyens et résidants confondus, à part quelques fortunés qui se sont confinés dans un endroit de vacances entre potes ou en couple).

Ceci n'est pas sans rapport avec l'industrie.

D'abord, la production dans une industrie est souvent à une cadence apte à stresser.

Ensuite, l'industrie recrute le plus souvent par des pressions - par exemple des paysans ayant perdu la ferme dans une campagne de plus en plus industrialisée.

Et encore, l'industrie est un endroit à plusieurs employés qui a servi de cluster pendant la pandémie./HGL [à suivre]

* Au minimum jusqu'à la page 80.
** Je trouve probable que la situation est historique. Entre Constantin et Justinien, la peine pour adultère est la mort de la femme adultère (mais contrairement à la loi de Moïse, pas de son complice). Au temps de Giraud de Barri et de Geoffroy de Monmouth, cette législation a très bien pu être oublié - abolie qu'elle était depuis plus de 6 siècles. Les temps que Nennius (ou au moins Historia Brittonum) donnent à Artorius se trouvent aussi entre Constantin et Justinien. La (grande) Bretagne sous-romaine avait gardé les institutions romaines, comme le territoire de Syagre avait gardé les lois de Rome tout en étant une enclave entre Visigoths, Bretons d'Armorique, Burgondiens et Francs.
*** Je pense que les vaccins de Pfizer et de Moderna ont utilisé le même avorté que les vaccins d'Astra-Zeneca et de l'institut Gamaleïa.

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