Sunday, 1 May 2022

Après l'attaque - j'ai eu des problèmes de virilité


Aggressé, avant-hier matin · Après l'attaque - j'ai eu des problèmes de virilité · J'ai demandé un peu d'aide à Guillaume de Thieulloy ... · Je me méfie quand on épèle mon nom comme ayant la même fin que Stendhal

Je ne sais pas ce qui c'est passé. Et ça semble être en train de se remettre. Mais je les ai eus.

1) Le choc?

2) On m'a filé un truc avec oreillons dans la bouffe?

3) On m'a filé un truc chimique?

Burt Ward Playing Robin almost cost him Everything
23rd April 2022 | Cool Quotes
https://www.youtube.com/watch?v=6kPOCJqHjA4


Dans la bouffe? Étais-je inconscient après l'attaque et m'a-t-on filé une injection aussi? Ou hypnotisé et poussé à prendre quelque chose dont je ne savais pas le contenu?

Autre chose.

On m'a dit que des condamnés criminels sexuels peuvent se retrouver avec ce genre de trucs chimiques. Tout d'abord, je ne suis pas condamné pour un quelconque crime sexuel* (par contre, j'ai été en prison pour avoir défendu mes libertés contre la psychiatrie en tirant sur un policier, le 5.II.1998, avec son propre pistolet, sur sa hanche, il n'en est pas ni mort, ni trop mal blessé, et en Suède le fait qu'il était policier ne change pas les rubriques de l'éventuel délit (j'ai essayé de plaider "défense légitime" et réelle, donc, mon avocat l'a empêché deux fois, premier procés "défense putative" et je suis acquitté, second procès il essaie de me faire passer pour un peu fou, pas nécessairement suffisant pour que l'obligation de soins s'impose, mais quand même, et le tribunal déconsidère défense même putative dès que j'admettais, ce que je n'avais jamais nié, que je savais bien qu'il était policier).

Il n'est pas acceptable que des flics en France contribuent à me harceler, protègent mes harceleurs, m'impose des mesures de sécurité par surveillance renforcée et détournent ma liberté en liberté surveillée pour se venger d'un collègue d'un autre pays, d'un fait d'un autre millénaire, et s'ils prétendent protéger un homosexuel ou transsexuel ou autrement pervers, ils se rendent coupables de la calomnie.

Avant ce 5.II.1998, j'avais essayé d'avoir recours contre les psychiatres à travers la police. J'avais déposé plainte. Ma mère m'ayant depuis visité, et vu que j'avais des occupations à cause d'elle, quand un policier m'adresse la parole en me posant la question "tout va bien" je ne dis que "oui" et il part. S'il avait interprété ces mots comme quoi je ne voulais plus soutenir la plainte, il commettait une perfidie. Ce n'était pas ma prétendue victime, mais un sien collègue.

Dans ma déposition de plainte, il y a deux semaines et quelque jours, je propose au policier qui m'écoute qu'il prennent mon courriel. Il refuse, la police allait me retrouver quand même, sans problème. Quand je retourne dans le quartier où j'ai été pendant les confinéments et jusqu'au 31 mars avant les élections, il y a quatre policiers qui me regardent quand je vais aller à la toilette publique, et qui parlent à quelqu'un d'autre. S'ils pretendent que j'aurais donné la permission de classer l'affaire, ils mentent. Ils ne m'ont même pas parlé. Je n'ai pas eu des policiers qui m'ont vu à propos l'affaire, et ça m'a étonné, vu que les caméra de surveillance auraient en théorie dû déjà aider à résoudre l'affaire.

Et si l'agresseur prétendait que c'était pour défendre le monde contre un criminal sexuel (ce que je ne suis pas)? Et que c'est pour ça qu'il aurait pas été trop inquiété par une quelconque enquête? Et à quand de me poser les bonnes questions là-dessus, pour que je puisse avoir un recours légal (plutôt qu'improviser encore une défense légitime qui ne sera pas retenue comme telle) contre ce genre de harcèlement?

Il semble que la sécurité des droits est à géométrie variable. Si des psychiatres sont impliqués dans des éventuelles mesures prises contre mes droits, contre ma liberté, contre peut-être même ma virilité, ceci prouve que j'avais raison en 1998 de prendre la démarche des psychiatres ou me livrant à eux, comme un acte comparable à piratage esclavagiste.

Hans Georg Lundahl
Paris
II Dim. après Pâques
1.V.2022

* Il peut y avoir eu des gens qui me prenaient pour un "pédomane" parce que je trouvais Marion - elle s'est mariée depuis, je ne désire pas la femme d'autrui ! - plus attractive que sa tante ou qui me prennent pour un tel parce que, pour "Passagers de la Nuit", je trouve Noée Abita plus attractive que Charlotte Gainsbourg. Là, on n'est pas dans la diagnose, on est dans un préjugé antifertiliste et diabolique visant une parité d'âge comme obligation primaire, même pour un vieux comme moi qui n'ai pas été marié et qui avec une femme d'âge égal ne pourrais pas avoir d'enfants.

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