Thursday, 6 February 2014

Merci Sainte Agathe pour le bijoutier à Asnières, hier!

La sainte, dont l'âme se réjouit de la Vision béatifique auprès de Dieu n'a pas besoin d'explications, les lecteurs par contre peut-être oui.

20 minutes, p. 2 Grand Paris
Jeudi 6 février 2014

20 secondes, faits divers

Il riposte au braquage, armé de son parapluie

"J'ai pris ce que j'avais sous la main." Un bijoutier d'Asnières (Hauts-de-Seine), victime d'une tentative de braquage mercredi matin, a pourchassé ses agresseurs à l'aide de son parapluie. L'un d'eux a pu être maîtrisé par des passants, avant d'être interpellé par la police.


Je félicite le bijoutier d'avoir réussi la défense de sa boutique sans pertes de vies humaines, même coupables! Et je félicite aussi la police d'avoir à l'occasion hier fait son vrai boulot, au service de la justice!

Seize ans plus tôt, en Suède, donc aussi un jour de Sainte Agathe, j'ai une mauvaise surprise le matin. Qu'on veut me déloger ne m'étonne pas, j'avais délaissé le loyer. Le problème est qu'un assistant social, un Issam Kazra, un Musulman fortement adapté et bon ami de son collègue athée, me propose d'éviter d'être délogé moyennant un examen psychiatrique. Je lui claque la porte.

Plus tard deux policiers ouvrent cette même porte pour me mettre en examen contre ma volonté. Je le considérais et je les considère comme en ce propos là l'équivalent des braqueurs, mais en pire. J'avais pas de parapluie, par contre j'utilise mon bâton à marche pour essayer de les pourchasser. En vain, ils me maîtrisent.

Plus tard encore un docteur en médecine fortement intéressé de la psychiatrie (plus tard j'ai constaté des raison pour prendre sa famille pour ayant un arrière-fonds juif) me pose une question gênante, j'essaie de lui donner une claque de mes pieds, les policiers me mettent par terre, l'un sort pour amener de quoi me ligoter les jambes. L'autre me retient, et quand je me lève (comment il y a deux versions devant la cour de justice), je réussis à lui ôter son pistolet, et je vise son estomac pour le prendre en hôtage contre ma liberté. Il essaie de reprendre le pistolet, et d'abord de le détourner de son estomac, je vois très bien que dans mes mains (encore ligotés "derrière le dos", mais je lui tourne le flanc pour pouvoir tirer du côté) le pistolet vise sa hanche. Je tire pour lui faire du mal, pour pouvoir reprendre le pistolet, pour pouvoir le prendre en hôtage contre ma liberté qu'il avait agressé, mais après il reprend le pistolet, malgré sa peine.

Il s'enfuit de la chambre d'hôpital avec le pistolet, je n'ai pas envie de risquer une fuite même si je suis seule et donc momentanément libre, car il semblait hystérique. Donc j'attends, l'autre vient et me ligote les jambes, mais j'ai évité la psychiatrie ce jour de Sainte Agathe de 1998, on me conduit vers la détention en attendant un procès. Et devant le premier procès j'arrive en menottes, et pars libre. Le procurateur va par contre plus tard faire appel et je serais condamné dans le deuxième procès.

Je considérais alors et je considère encore la psychiatrie comme un braquage fait à pas mal de personnes saines d'esprit (quoique pas toujours innocentes, mais ça serait plutôt un cas pour la juridique que pour la médecine), beaucoup plus souvent qu'un soin apporté à des malades. Je considère donc que le policier contre lequel je me défendais - il était brave quand au courage physique et faisais la blague qu'il avait manqué tel programme de télé et "que ne fait-on pas pour l'odeur du poudre" - agissait à l'époque comme un braqueur en uniforme.

Pendant le temps en prison, trois musulmans ont arrangé une situation dans une prison et une psychiatre une autre situation dans une autre, à partir de quoi j'ai dû purger le restant du temps en psychiatrie. Les camarades que j'avais ne m'ont pas convaincu que j'avais tort sur les malfaits d'une psychiatrie trop intrusive. Et depuis qu'on a été obligés à me laisser ma liberté, on m'a continué à me harceler de manière sournoise. Ce qui n'est pas apte non plus à me convaincre que j'avais tort ce jour il y avait hier seize ans.

J'ai remercié Sainte Agathe pour le fait d'avoir réussi de ne pas me retrouver un psychiatrie ce soir là, et j'ai dans le titre de ce message remercié la-même pour l'exploit du bijoutier hier à Asnières. Que Dieu soit loué en tout!

Hans-Georg Lundahl
BU Paris X
St Tite de Crète,
évêque et confesseur
6-II-2014

PS, si les bijoutier prennent des stages en utilisage de fusils ou de pistolets, ça serait une bonne chose que les instructeurs de tir commencent à faire des leçons aussi comment viser des parties du corps dont la blessure par balle rendent l'agresseur moins dangereux sans de le tuer. Même dans le service militaire on en a eu des leçons comme ça.

PPS, si mon agresseur d'il y a seize ans et un jour veut une reconciliation, je ne lui porte pas rancune personellement, mais je ne trouve pas que ce soit à moi de faire les excuses. Nota bene, ceci vaut pour le policier, et non pas pour Issam Kazra. Ou pour le médecin.

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