Sunday 1 February 2015

Pourquoi je n'ai pas lu Oro (et ne vais pas le faire)

Cyril, désolé, j'aime normalement la générosité, les cadeaux, mais après avoir regardé, je n'ai pas pu garder le livre.

Je ne sais pas si j'allais mal à l'estomac à cause d'une malédiction lié à ce livre ou si c'était coincidence, mais après de m'en être débarassé je commençais à aller mieux.

Bon, pourquoi donc ça?

Cizia Zykë commence son roman (j'espérais au moins que c'était un roman) avec des plaintes sur la qualité de ceci et de cela, mais en plus, la page suivante, il dit avoir commis un acte disrespectueux à la Parole de Dieu. La dernière page, il dit avoir ensevéli ses fusils, à peu près comme s'il avait vécu une expérience très violente qui lui faisait mal au cœur. Entre les deux, il dit qqc sur une querelle sur l'argent, je crains même qu'il y était impliqué.

C'était pas mon type, et quand je jetais le livre, j'espérais que c'était au moins juste un roman. Il semble que non.

Il semble [selon la wikipédie sur le pays, qui peut biensûr avoir été sabotée dans cet article] aussi que la Costa Rica qu'il a connue en un tel chaos qu'il y a pu jouer un rôle décisif avait aboli son militaire quelques décades d'années avant.

J'aime bien les romans d'avanture, mais le geste que fit Cizia (selon le livre), chez Karl May on ne le trouve pas du tout, mais si on le trouvait, on le trouverait chez un méchant. Et chez C. S. Lewis et J. R. R. Tolkien non plus il n'est pas possible de trouver un tel geste chez un héro d'un livre. Et même observation pour les romans de Lloyd Alexander. Ce sont des aventures que j'aime comme lecture, pas du cynisme chez celui qui doit dedans représenter le bon ordre.

Hans Georg Lundahl
Bpi, Georges Pompidou
Dimanche de Septuagésime
1-II-2015

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