Hier une jeune fille et une copine d'elle m'ont aidé.
Fort bien à propos de ça.
Au moins elle-même était étudiante universitaire, pas mineure donc.
Il me semble que c'était le cas pour l'autre aussi.
Au moment qu'elle m'a donné à manger, elle allait me monter une lampe. Elle n'est pas venue.
Elle n'avait rien contre l'idée de me donner un café et qqc à manger le matin. Elle n'est pas venue le matin.
J'avais essayé d'expliquer la situation à propos l'impression de livre ... je cite un article d'avant, fait n° IV:
| Un peu plus tard ce matin [c'était Sts Jacques et Philippe, Apôtres, 11.V.2016], j'essaie de faire les impressions que j'avais payé en avance, on me refuse l'entrée par rapport à mon bagage, même si c'était uniquement pour le temps de faire les impressions, même si je restais à côté de mon bagage.
Le patron d'un bureau de copy-self me renvoie là où j'avais acheté la carte prépayé, et là on me refuse aussi d'imprimer, mais m'offre de me rembourser la carte. Bon, j'ai refusé. |
Voir aussi l'image de la carte préachetée en bas du message cité.
Elle avait compris comme si mon problème était manque d'argent pour imprimer. Entre-temps que copy-self me pose ce truc contre l'utilisation de ce que j'ai acheté par propre argent, il y a, par contre, un "manque" temporaire d'argent, puisque l'argent que j'ai dépensé pour la carte est bloqué, prendre l'offerte n'aurait pas été malhonnête.
Elle n'est pas venue ce matin, comme dit. Mais en plus, elle avait mémorisé mon courriel, et elle n'a pas non plus écrit de mail.
Réconstruction possible : ses parents se sont réveillés, ils l'ont interrogée, ensuite interdite d'avoir quoi que ce soit à faire avec moi.
Motif? Un certain réseau prétend que je serais manipulateur et un danger pour les jeunes, c'est au moins une possibilité.
J'ai eu en faisant la manche de quoi remplir une autre carte photo-copies, mais les jeunes ont absenté très soigneusement de s'approcher et de noter mes url, sauf une.
On harcèle peut-être les jeunes de ne rien avoir à faire avec ce que je publie sur le web et essaie de publier aussi sur papier.
Dans ces conditions, on m'empêche quasiment à faire ma vie comme écrivain et compositeur. En pratique. On m'empêche surtout de trouver une femme plus jeune que moi-même (essentiel si je veux avoir une grande progéniture, non?). On m'empêche d'avoir une compagnie qui montre ce que je ressens comme sympathie, et on me donne, au moins sur place, une position où je dois me contenter avec des moins jeunes, moins féminins (voir pas féminins du tout) et ironiques, sans ce que je pourrais trouver comme sympathie. On me prive donc en pratique de vie amicale comme sexuelle, familiale comme professionnelle.
Il y a des gens pour qui le fait de me mettre en contact avec une fille de 24 paraîtrait aussi malhonnête comme si j'avais essayé de violer une fille d'onze ans. Je considère moi-même que si j'avais eu l'opportunité d'épouser une fille de 12, ça n'aurait pas été malhonnête, une fille de 24 n'est pas mal non plus, d'amis dans un âge quand il y a encore un peu de curiosité amicable et bien-veillante n'est pas mal en dehors de ça ... mais ce que je trouve en lieu de ça, c'est un puritanisme divorcé de la loi divine, de la loi de l'église, de l'humanité et ses traditions, et une décision de jouer chaque carte de perfidie et de se dire, mutuellement, parmi ma génération, celle qui m'a trahi en Suède quand on était jeunes, qu'on protège la jeunesse d'un prédateur et manipulateur.
Ceci est biensûr une perfidie énorme.
Et en plus de me priver de la liberté, on prive la jeunesse de liberté aussi. Audelà de l'âge de mineurs.
Va-t-elle avoir occasion à lire ce que j'allais copier avec son aide à Paris III/Sorbonne, comme elle avait offert?
Il y en a qui voudraient l'empêcher de ça.
Et il y en a qui sont plus vieux qui prétendent rien ne comprendre envers moi, qui, envers des jeunes, prétendent tout comprendre sur moi.
Et, enfin de compte, à propos l'essai qu'on m'imposait chez Les Petits Frères des Pauvres (à travers un autre sans-abri), je ne confonds pas Chostakovitch, variations sur un thème de Paganini, avec Mozart. Je pensais juste à une similitude en théorie musicale, ce thème comme Non più andrai farfallone amoroso sont basés sur une sexte descendante. Différence étant celle entre majeur et mineur. Et de tempo. Juste en cas que quelqu'un aurait voulu prendre cette conversation là comme indice que je ne pourrais pas être le compositeur dont les compositions bien licites et légitimes se trouvent sur mon blog de compositions, musicalia - où la dernière composition, une mélodie nouvelle pour Rosa rorans, pourrait donner à certains Scandinaves, plus proches des services de protection de l'enfance et de la jeunesse, notamment de Norvège, que de leurs victimes, un mobile de procéder avec une perfidie exquise contre moi. À cause du dédicace.
Si des jeunes lisent ceci, et s'indignent, je recommande de faire partie de la manif contre les services (ou sévices) de "protection" (sic!) d'enfance et de jeunesse, le 28 mai. Le 17, quand j'ai fini la composition, j'aurais voulu faire une petite manif moi-même avec mon blog suéco-phone, scandino-phone, à côté de l'ambassade de Norvège. D'autres avaient probablement eu la même idée, la police avait interdit les métro à s'arrêter à École Militaire à cause d'une manif. Je n'ai pas vérifié, mais si l'ambassade de Norvège est proche de l'École Militaire, je ne serai pas surpris.
Hans Georg Lundahl
BU de Nanterre
St Manahen et Ste Jeanne la femme de Husa*
24.V.2016
* Antiochiae natalis sancti Manahen, qui fuit Herodis Tetrarchae collactaneus, atque, Doctor et Propheta exsistens sub gratia novi Testamenti, in eadem urbe quievit.
Item beatae Joannae, uxoris Chusae, procuratoris Herodis, quam Lucas Evangelista commemorat.
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