Monday, 27 July 2015

Il y a des temps que je me sens très Viva l'Italia!

fdesouche : La CEDH condamne l’Italie à reconnaître les couples homosexuels ainsi qu’à « 5 000 euros de dommage moral »
Par Horatius le 21/07/2015
http://www.fdesouche.com/630109-la-cedh-condamne-litalie-reconnaitre-les-couples-homosexuels-ainsi-qua-5-000-euros-de-dommage-moral


Le jugement va dans le très mauvais sens que l'aberration ait un droit pareil à la normalité à se perpétuer en stabilité.

Jusqu'à maintenant, l'Italie a gardé le droit égal qu'on les femmes lesbiennes et les hommes pédés à se marier - mais pour de vrai, selon la définition du mariage de Genèse 1:27-28, confirmé en Marc 10:6.

L'Irlande et la France ont opté récemment pour abolir cette égalité administrativement. Celui qui est embrouillé dans un pseudo-mariage n'a pas un droit égal, devant l'administration, de briser une vie en abjection en optant pour un vrai mariage - puisqu'il est censé "être marié à un autre" déjà. C'est très bien que jusqu'à maintenant l'Italie n'ait pas brisé cette égalité. Un pédé embrouillé en affaire amoureuse avec un autre pédé reste aussi capable de se marier avec une femme (ayant dit "bye bye" au "partenaire") qu'un pédé non impliqué dedans. Ils n'ont pas la possibilité d'avoir un statut qui les rend moins égaux dedans.

Par contre, la Cour Européenne des Droits de l'Homme ... j'ai déjà noté il y a une vingtaine d'années que la déclaration derrière, la Convention européenne des droits de l'homme, n'est pas conforme au Décalogue, donc ne reflète pas la loi naturelle. Cette déclaration est donc en certains détails, et par là aussi dans son ensemble, hérétique. Et il ne s'agit pas juste des libertés de trop, mais aussi des égalités de trop et encore des inégalités et des illibertés de trop, les fameuses exceptions en chaque article depuis le 8:

[Article 8.] 2. Il ne peut y avoir ingérence d’une autorité publique dans l’exercice de ce droit que pour autant que cette ingérence est prévue par la loi et qu’elle constitue une mesure qui, dans une société démocratique, est nécessaire à la sécurité nationale, à la sûreté publique, au bien-être économique du pays, à la défense de l’ordre et à la prévention des infractions pénales, à la protection de la santé ou de la morale, ou à la protection des droits et libertés d’autrui.

[Article 9.]2. La liberté de manifester sa religion ou ses convictions ne peut faire l’objet d’autres restrictions que celles qui, prévues par la loi, constituent des mesures nécessaires, dans une société démocratique, à la sécurité publique, à la protection de l’ordre, de la santé ou de la morale publiques, ou à la protection des droits et libertés d’autrui.

[Article 10.] 2. L’exercice de ces libertés comportant des devoirs et des responsabilités peut être soumis à certaines formalités, conditions, restrictions ou sanctions prévues par la loi, qui constituent des mesures nécessaires, dans une société démocratique, à la sécurité nationale, à l’intégrité territoriale ou à la sûreté publique, à la défense de l’ordre et à la prévention du crime, à la protection de la santé ou de la morale, à la protection de la réputation ou des droits d’autrui, pour empêcher la divulgation d’informations confidentielles ou pour garantir l’autorité et l’impartialité du pouvoir judiciaire.

[Article 11.] 2. L’exercice de ces droits ne peut faire l’objet d’autres restrictions que celles qui, prévues par la loi, constituent des mesures nécessaires, dans une société démocratique, à la sécurité nationale, à la sûreté publique, à la défense de l’ordre et à la prévention du crime, à la protection de la santé ou de la morale, ou à la protection des droits et libertés d’autrui. Le présent article n’interdit pas que des restrictions légitimes soient imposées à l’exercice de ces droits par les membres des forces armées, de la police ou de l’administration de l’Etat.

Article 17. Aucune des dispositions de la présente Convention ne peut être interprétée comme impliquant pour un Etat, un groupement ou un individu, un droit quelconque de se livrer à une activité ou d’accomplir un acte visant à la destruction des droits ou libertés reconnus dans la présente Convention ou à des limitations plus amples de ces droits et libertés que celles prévues à ladite Convention.


Vous voyez?

Une fois qu'une liberté est acquise et regardée comme étant normalement en accord avec la convention, elle rend possible de rendre illégale chaque attaque à cette liberté.

Chaque liberté peut pour autant souffrir des lois d'exception faites pour la santé - ou maniables (c'est là que ces lois deviennent lois d'exception) par les "spécialistes de la santé" (y compris donc, de la santé mentale).

"à la protection de la santé ou de la morale"

"à la protection de l’ordre, de la santé ou de la morale publiques,"

"à la défense de l’ordre et à la prévention du crime, à la protection de la santé ou de la morale"

"à la sécurité nationale, à la sûreté publique, à la défense de l’ordre et à la prévention du crime, à la protection de la santé ou de la morale"

La morale publique ... si la morale publique est catholique, fort bien. Si elle ne l'est pas, fort mal.

Et la référence à la "santé publique" est assez confuse, à moins de vouloir simplement dire à la prévention des épidémies - et ceci n'est pas un but qui prime tout.

Comme pour certains des points "sécurité" est un but sur lequel juge l'homme au pouvoir, ou jugent les hommes au pouvoir, en prenant conseil des gens de sécurité (et ça peut s'empirer dans la mesure que les gens de sécurité s'apparentent à une police secrète oppressive), ainsi la référence à la santé est un but sur lequel jugent les hommes au pouvoir en prenant conseil des médecins. Et ils peuvent alors recréer le rôle qu'avait l'Église Catholique au Moyen Âge, mais sans l'Église pour remplir ce rôle, au lieu de ça, des médecins, qui comprennent des avortionnistes, des gens ayant stérilisé, des gens ayant euthanasié (en coupure des soins, en donnant des calmants un peu surdosés, en prenant organes vitaux pour transplanter), ou encore des psychiatres et des psychologues. Tout selon le plus ou moins grand rôle que l'état leur laisse, si un peuple ou ses dirigeants a des moeurs qui leur laissent beaucoup de place, la convention leur laisse la possibilité de tyranniser. Par lois faits dans leur interêts, même lois formulés de manière équitable et égale (par exemple devoir de vaccination rendant criminel la non-vaccination), ou par lois forulés de manière de les rendre en fin de compte juges de libertés, comme les lois qui règlent la psychiatrie, ou les pro forma juges de liberté vont assez rarement libérer quelqu'un contre l'avis du docteur, malgré un rôle formellement comme juge impartial entre docteur et "patient-détenu".

Il y a d'autres problèmes aussi.

Qui rendent aussi la tyrannie possible.

Les soldats qui tiraient sur Amy Winehouse aux États-Unis quand elle voulait de retirer des soins "pour alcoholisme" n'auraient pas pu être jugés comme contraires à cette déclaration, même s'ils l'avaient tuée en tirant. Je vous laisse étudier la convention vous-mêmes pour trouver les hics qui l'auraient permis.

Mais, il y a eu un temps, on entendait surtout parler des cas où les juges de le Cour Européenne avaient protégé le bien commun et les libertés individuelles contre marxistes.

Maintenant, il y a eu quelques années le cas où une Finnoise ne voulant pas que son fils ait une classe avec un crucifix sur le mur avait gagné contre Italie, plutôt d'être demandé de scolariser, si telle était sa préférence, le fils autre part, il y a eu le cas où les Allemands qui voulaient scolariser à maison n'ont pas eu gain de cause contre l'Allemagne, et maintenant aussi ce cas qui défavorise indûment la morale publique d'Italie.

Qui est en ce cas encore coincidante avec la morale catholique. Et qui doit être soutenue pour ce fait.

Hans Georg Lundahl
Bpi, Georges Pompidou
Les martyrs de Cordoue
Georges diacre, et les couples
Aurèle et Nathalie, Félix et Liliose
27-VII-2015

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